Comme toujours...

Comme toujours, j’ai envie de toi dès que mes yeux se posent sur toi…
Je t’ai excité, et me suis excité par la même occasion, toute la journée en t’écrivant des récits et m’imaginant ce moment. Je ne peux résister à l’envie de te dominer.

Envie de toi…
« Laisses-moi te dominer un peu, juste un avant-goût de ce qui nous attend plus tard… tu veux bien ? »

Tu t’agenouilles devant moi.
Les yeux dans les yeux.
Tu trembles dans l’attente de la suite, du plaisir à venir… joueuse, soumise, amoureuse…
Peut-être que ta bouche s’avance comme pour venir à la rencontre de mon sexe…

Patience… je veux d’abord que tu sois folle de désir et d'impatience, je veux te faire perdre la tête un peu...


Les yeux dans les yeux.
J'adore cet instant magique où nos regards se croisent, ces regards qui en disent longs sur notre désir, sur ton désir, ton abandon…
Que je devine.
J’y lis ; « je suis tienne ! ». J’aime cela.
Je pose ma main sur ta gorge, là où est ton collier, doit être ton collier.
Ma main sur ta gorge est comme un collier, elle exerce une pression, juste un peu, assez pour que tu saches que je suis ton Maître.
Mes doigts de l’autre main se posent sur tes lèvres.
Je les caresse, et me glisse dans ta bouche. Ils sont comme un sexe que tu aspires. Ta bouche est à moi.

« Tu es mon esclave Laure ! ».
Je le lis dans tes yeux…
« N’as-tu rien oublié ? ».
Je vois que tu cherches… Ma main sort de ta bouche je te gifle.
J’aime cela, j’aime te donner des gifles.
Je vois tes joues rougir je vois ton regard changer. Il me pose la question : « Quoi ? ».

Je caresse tes seins. Les serres un peu entre tes mains, ttire la pointe entre tes doigts. J’adore faire cela !
J’empoigne fermement et le serre fort. Je le relève légèrement et flanque une petite tape sur chaque sein.

Ma main est toujours sur ta gorge, elle te tien.
« N’as-tu rien oublié ? ».
Là ta respiration s’active…
Tu cherches, proposes, supposes…
La réponse me convient où je veux plus ?

Je te gifle de nouveau.
Te regard dans les yeux. Je lis ton amour, ton désir… autre chose aussi.
Ma main descend le long de tes seins, je les laisse pour le moment. Ton ventre, je descends et rendu au-dessus de ton sexe, je jauge ton plaisir.

Mouillée ?
Pas mouillée ?
À l’aide de mes doigts, j’écarte tes lèvres…
Sans te pénétrer, je fais glisser mes doigts sur ton sexe. Je le caresse doucement, la peau est lisse, chaude et gonflée d’envie.
Tu anticipes…
« Écartes tes cuisses ». Mots susurrés, que tu dois plus deviner qu’entendre.
Mes doigts glissent sur toute la longueur de ton sexe… Je titille la peau, pince tes lèvres entre mes doigts.

J'aime quand mon corps se rapproche, que mon instinct prend le pas sur tout le reste, que l'envie de te dominer, dominer... De te soumettre de te de posséder et que tu t’abandonnes à mes exigences. Que tu sentes comme mon objet sexuel…
Et cette idée, doit t’exciter et elle me plait au plus haut point !

Papillon

Elle :  Toute la semaine j’avais ressenti des papillons de nervosité à l’idée que j’allais m’abandonner à toi… Qu’allais-tu me demander ?
Nous devions nous retrouver à 20 h à la gare de Pontoise. J’avais mis le collier, le plug et les boules de geisha dans mon sac à main, comme tu l’avais ordonné. Dès que je suis sortie de la gare, je t’ai vu qui m’attendais dans ta voiture, le visage penché sur quelque chose que je ne voyais pas, j’ai su plus tard que tu m’envoyais un message, j’ai souris, heureuse de te voir enfin après cette longue attente.
J’avais choisi ma tenue exprès pour toi  et j'espérais que tu aimerais.
Moi Tenue fraîche et vaporeuse, même un homme te l'a dit : "Votre robe est assortie à votre valise."
J'ai aimé qu’un autre homme ait pu voir que tu rayonnais.
Elle : Merci mon Doux Maître, mais moi je ne voyais que toi, le restant du monde m'indiffère...


Elle : Nous y étions enfin ! J’avais rêvé de ce moment et j’imagine que toi aussi tu l’attendais. Durant le voyage, je m’appliquais à accepter tes caresses, et à obéir à tes ordres malgré ma gêne que j’essayais de dissimuler… Je pouvais aussi enfin te toucher et laisser ma main caresser ta cuisse sans oser aller plus loin bien que j’avoue en avoir eu envie…
Moi  Mmmm, j'apprécie tes petits gestes : "Il est à moi je le veux, et je veux le toucher, qu'il sache cela..." J’aime sentir ta main sur ma cuisse lorsqu’elle ose. Voir des fois la sentir caresser ma verge à travers le pantalon.


Elle : Ce voyage fut finalement plus soft que je ne l’avais imaginé. J’en étais à la fois soulagée et légèrement sur ma faim quand même…
Moi J’avais des idées, la conduite et le vagabondage pas toujours facile.
Te caresser… et frustrer la Douce, le Doux !


Elle : Une fois arrivés, tu m’as donné la première partie de la punition promise… les 10 claques sur les fesses. Pour une fois j’ai apprécié cette fessée comme je les aime : pas trop fortes. Mise en bouche diras-tu plus tard…
Moi HI hi oublié 10 ^^ !


Elle : Nous étions sur le point de partir au restaurant quand tu m’as demandé si j’avais gardé le plug, les boules de geisha et mon collier de cuir dans mon sac. Oups prise en faute, je les avais déjà retirés, pensant ne pas en avoir besoin. Comme je te proposais de les reprendre tu m’as penchée sur le canapé en me disant que ça serait aussi bien de me mettre le plug dès maintenant. Je sentais ton sourire dans mon dos pendant que tu baissais ma culotte de dentelle et que tu enfonçais le petit plug dans mon anus.
Moi Jolie culotte ^^.


Elle :  Finalement, heureusement que nous n’allions pas marcher beaucoup… Ce truc ne se fait pas oublier facilement ! Ça plus les seins nus sous ma robe c’était déjà pas mal. Quand je te vis glisser le collier dans ta poche, je fus à la fois inquiète et ravie. Petit moment de flottement ensuite quand j’ai du retirer ma veste à l’intérieur du restaurant Après un coup d’oeil circulaire pour m’assurer que personne ne regardait dans ma direction, je l’ai vite enlevée et me suis assise rapidement. Dans le restaurant nous discutions de choses et d’autres, éloignées de ce que nous nous apprêtions à vivre. L’as tu fait à dessin pour que je me détende ? Je me suis posé la question. Plus tard, quand tu m’as passé le collier autour du cou à la sortie du restaurant, j’ai réalisé que j’attendais ce moment depuis longtemps et que j’étais heureuse que tu l’ais fait, même si j’aurais probablement été très gênée si nous avions croisé quelqu’un en rentrant. Par chance il n’y avait personne et j’ai pu profiter pleinement de ce moment ou je devenais encore plus tienne.
Moi  Oui j’ai apprécié ce moment où… rien ne se passe.
Puis te mettre le collier autour du cou Mmmm…
Nous commencions !


Elle : Tout en remontant, je me faisais la réflexion que maintenant je n’avais plus mon libre arbitre et que l’heure du choix était passée. Pourtant, autant j’avais été nerveuse, jusqu’à ce soir, autant je me sentais calme et déterminée maintenant que j’allais faire face à mon Dominant d’amour.
Je ne m’attendais pas à ce que tu me dises que tu souhaitais que ton esclave te lave et que tu m’attendais dans la douche quand je serais prête. Tu ne m’avais pas donné de consigne particulière alors j’ai ôté les vêtements que je portais pour éviter de les mouiller et aussi parce que je me disais que tu préférais peut être être lavé par une esclave nue.
Moi Oui ^^.


Elle :  J’ai aimé ce moment. Savonner ton corps en suivant tes directives, puis te sécher ensuite, même si je me sentais un peu malhabile parfois. Je me sentais soumise, esclave servant son Maître du mieux qu’elle pouvait.
Moi Ce fut bien. Juste ose décalotter le gland il doit être propre aussi.
Et plus sécher mes fesses^^.
Elle : J’en prends note Maître


Elle :  L’heure de la seconde punition avait sonné. Je sentais le dominant prendre les commandes, y compris dans la façon dont tu m’embrassais. Tu me fis mettre à genoux devant toi. Tout en prenant place je me demandais ce que tu allais faire et je m’inquiétais un peu pour mes seins en repensant au “travail des seins” mentionné sur le rapport des punitions.
Puis tu as commencé à me parler, certainement la mise au point promise, mais mon cerveau n’enregistrait déjà plus tes paroles. Je ne pouvais plus que regarder ton visage qui me souriait je crois. Et soudain la première gifle est tombée… Un vrai choc ! Pas la douleur, même si elle était présente. Non une immense surprise suivie aussitôt d’une sensation de bien être inexplicable : j’aimais cela, mon corps aimait, ma tête aussi. Je te regardais, inconsciente de ce que tu pouvais lire dans mes yeux. Tu me parlais et je m’efforçais de te répondre. Je devais faire un effort, comme pour me réveiller, ou sortir d’un état second. Et les gifles se succédaient à une cadence parfaite. Et je les acceptais sans broncher. Je les espérais même… Qui aime bien châtie bien dis la sagesse populaire. Je me sentais soumise aimée, châtiée et choyée en même temps ; recevant toute l’attention de mon Maître qui me corrigeait de mes errements. Je ne saurais dire combien de gifles j’ai reçu ni combien de temps cela a réellement duré. Pour moi ce fut un moment magique et parfait ou le temps s’était arrêté et ou rien d’autre n’existait que toi et moi et ce lien si fort qui nous unissait…
Moi  J’ai aussi giflé tes seins à plusieurs reprises.
Elle :  Cela me revient maintenant par bribes. Mais Je crois que les gifles ont tout occulté. Je me souviens de ta main soutenant mon sein avant de frapper le sein ou le téton mais il me semble que c’était une cravache qui me frappait


Elle : Quand ce fut fini j’étais un peu sonnée, les joues soulagées mais ressentant déjà un manque que je ne comprenais pas encore. Je me relevais un peu chancelante. Je pensais me laver ensuite ou du moins me démaquiller mais tu avais d’autres projets en tête…. Dire que je n’étais pas préparée à ce qui allait suivre est un euphémisme !
Moi Moi oui moi qui pensais que donner une gifle serai compliqué…
Je me demandais comment j’allais le faire ! Crois moi je redoutais ce moment je me suis dit la barre est haute (pour moi). Que je n’oserai pas et…
La première gifle part. Je vois dans ton regard une “lumière” et aussi ton silence. Tu n’as rien dit. Je recommence, encore et encore… J’y prends goût et il me semble que toi aussi.
Il faut arrêter à un moment ! Non encore une !
Elle :  Oui mon Doux Maître j’ai aimé immédiatement cela et j’avais aussi envie que ce moment dure. Pour ma part je n’ai jamais eu d’à priori contre les gifles donc ce fut peut être plus facile de les accepter de ta part. Pour moi je suis à toi et tu peux donc tout faire je n’ai pas à choisir l’endroit que tu souhaites frapper.


Elle : Que dire… Quand j’ai compris ce que tu voulais je n’ai pas eu d’hésitation. Je t’ai obéis du mieux que je pouvais et me suis abandonnée à ta volonté. Ce fut à la fois dur et facile. Dur pour mon corps qui se rebellait, dur car quand tu étais profondément en moi je ne pouvais pas respirer et si j’essayais j’avais immédiatement le réflexe nauséeux, que mes yeux pleuraient et que mon nez coulait. Je me disais en même temps que je devais être affreuse à regarder sourire, avec la goutte au nez et le maquillage ravagé… C’est pourquoi j’ai saisi l’opportunité de me rafraîchir quand une nausée plus importante que les autres m’a fait régurgiter un peu. Je te remercie d’ailleurs de t’être occupé de nettoyer les petits dégâts.
Moi Normal que je participe. Cela dépend aussi de la personne. J’aime te bousculer et au fond de moi le Doux dit va doucement hein !


Elle :  Il m’a paru naturel ensuite de revenir me mettre à ta disposition.
Moi Je fus surpris. Elle revient, là j’ai compris que tu avais passé un cap.
Tu es vraiment mon esclave.
Elle : Pour ma part je n’en ai jamais douté Maître d’amour. Je ne t’ai jamais caché que je pourrais aller très loin pour toi...



Elle : Psychologiquement ce fut facile, facile de m’abandonner, je me sentais profondément soumise et j’avais l’envie de te satisfaire, de te donner du plaisir et que tu soit content de ta petite esclave punie^^.
J’ai aimé t’entendre me dire que tu aimais, que tu sentais ma gorge, tous ces mots qui me rassuraient sur ton plaisir et le fait que tu étais content de moi.
Moi Oui l’effet est intéressant. Je me battais aussi contre les deux moi ^^.
Mais l‘effet de pouvoir te contrôler, de m’enfoncer en toi, de te posséder était plus fort.


Elle :  Par contre j’ai vraiment détesté ce qui a suivi et que tu m’as demandé ensuite… Quand tu t’es retourné et m’a demandé de te lécher l’anus, j’ai du faire appel à toute ma volonté pour pour le faire et pour être honnête si je n’avais pas eu peur d’une punition douloureuse je ne l’aurais pas fait ! Je ne m’étendrais pas sur mes ressentis et te dirais juste que je n’ai pris aucun plaisir à faire ça, même pas dans la soumission, et que je souhaite n’avoir jamais à le refaire. J’aurais aimer pouvoir le faire et prendre plaisir à t’en donner de cette manière, mais c’est au-dessus de mes forces.
Moi Je devais savoir si…
Elle :  Je pensais pourtant avoir été claire sur mon peu de goût (euphémisme…) pour cette pratique...
Moi j’aime cela mais j’avais besoin de te pousser dans tes retranchements pour connaître tes limites. Je garde cette pratique pour une punition forte.
Elle : Oui j’ai des limites Maître et celle-ci est une limite haute ou forte je ne sais pas comment on dit. Je préfère de loin boire ton urine et pourtant ce n’est pas simple, que d’être obligée à ça…


Elle :  J’ai adoré que tu me serres ensuite dans tes bras pour un gros câlin réparateur. Pardon d’avoir sali ton joli t-shirt blanc Maître. Car je te trouve absolument craquant dedans !
Quand tu m’as mis le masque, je ne savais pas quoi penser. La punition était elle terminée ou non ?
Je me souviens que tu m’as demandé d’embrasser tes pieds nus. Avais-je ou non le masque je ne saurais le dire. Je me suis alors appliquée à t’obéir. J’aime vraiment le faire. J’aime me soumettre à ta volonté.
Moi Tu avais le masque.
Elle : C’est curieux j’ai pourtant l’impression que je voyais tes pieds en des léchant. Un effet de mon imagination sûrement hihi


Elle : Ensuite est venu le temps de goûter à la (les) cravaches. Mon ressenti est un peu partagé. Je n’ai pas détesté mais je pensais que j’aurais apprécié plus. Le ressenti de mon souvenir était beaucoup plus agréable. Peut être que c’était du à la cravache utilisée ou bien à la force des coups je ne sais pas.
Moi Je n’ai vraiment pas tapé fort. 
Elle : Et pourtant 15 jours après je reconnais encore la marque triangulaire de la cravache avec le petit trou au milieu^^ Cela commence seulement à s’estomper.
Moi je ne voulais pas te “bloquer”.


Elle : Toujours est il que je crois n’avoir que très peu de résistance à la douleur, ce qui ne me facilite pas les choses. Pourtant une chose est sûre je me sentais soumise et prête à accepter ce que tu avais décidé pour moi, même si physiquement cela m’était difficile. J’ai notamment en tête ce moment étrange ou à 4 pattes tu me cravachais les fesses j’avais mal et je sentais les sanglots venir et je me rendais compte que ce n’était pas seulement la douleur qui provoquait cela mais que je ressentais aussi une émotion m’envahir… Je n’en suis pas certaine mais je crois que j’ai pleuré d’abandon à ce moment là. La douleur me faisait presque pleurer et pourtant je n’avais pas l’envie, l’idée de te demander grâce. Je ne sais pas si j’aurais tenu plus longtemps ou non mais à ce moment là je me sentais prête à souffrir encore, quitte à laisser la souffrance s’exprimer par mes pleurs, tant que tu aurais souhaité me cravacher. Il se trouve que tu as arrêté juste à ce moment là.
Moi Je crois comprendre.
Le pleur est peut-être une façon que ton corps a pour exprimer un “réconfort”. Le mot est peut-être mal placé. C’est une façon de laisser la tension sortir, tension de tout ce qui devait se bousculer dans ton esprit.
Elle :  Je pense effectivement Maître que j’avais un trop plein a évacuer et que la douleur à eu raison de ma volonté de ne pas faillir. Je sentais les vannes s’ouvrir malgré moi… La différence c’est que cette fois je n’avais pas envie de les cacher. De te les cacher.


Elle :  Pour terminer tu m’as caressé. Tu voulais que je jouisse, à genoux contre toi, mais cela n’a pas marché comme je m’y attendais… Pourtant j’ai vraiment essayé, un moment j’ai cru y parvenir mais pffft ça c’est envolé et j’ai su que c’était terminé.
Moi : Dommage, je recommencerai.
Elle : Je ressens moins de plaisir comme cela alors ça ne sera pas facile.


Elle : Je te remercie vraiment Maître pour ce magnifique moment que tu m’as offert. Tu as été parfait, attentif et bienveillant, ferme et tendre à la fois tel que je l’avais rêvé. C’est pour toi et par toi que j’ai trouvé la force de me dépasser. Tu as fait de moi une soumise comblée. J’espère revivre des moments aussi forts auprès de toi. Ainsi que tous ces moments de douceur et de tendresse qui les suivent…
Moi : Bel âtre !


Elle : Merci Maître d’amour
Ta Douce esclave qui t’aime.

Rendez vous



Chère Amie.

Il est impossible de rester sans penser à tout ton être ; tu es en moi toute entière ; partout
Je ne vois que tes yeux exquis, tes mains douces… Il y a quelque chose d’indéfinissable dans ton visage, quelque chose de beau. Ta contenance et ta conduite en général, dégagent quelque chose d’inhabituel et de saisissant.

Je contemple sur tes lèvres en frissonnant la petite ligne régulière de tes morsures.
Je voudrais tant te connaitre, et crois n’en avoir pas besoin : un instinct d’âme me fait pressentir ton être… Ce que j’ai cherché en vain dans les autres, je ne le trouverai peut-être pas en toi, mais je pourrai toujours croire que tu le possèdes.

Toi tu es heureuse ; ce n’est pas ma pauvre pensée qui ridera ton front transparent ; non plus que l’ennui de ne point me voir. Pour moi il n’y a que la glaciale solitude… Jamais, non jamais, tu ne m’avais donné pareille volupté. Jamais je ne me suis fondue ainsi dans le souffle brûlant de tes caresses.

1° Ce soir à 9 heures moins le quart de chez moi.
2° Demain matin encore chez moi.
3° Demain soir chez Le furet moqueur (Maison Olivier).

Où comme dans mes rêves ; le thermomètre va exploser. Je veux sentir encore de moi, sentir le sang brûlant courir plus vite dans les veines, sentir le rythme lent, caressant, et puis soudain les coups violents, sentir l’excitation pendant les arrêts, quand j’entends les bruits de gouttes d’eau… et me sentir palpiter dans ta bouche.


J’ajoute, Chère Amie, que je ne me mettrai nullement en furie si tu ne peux venir à ces rendez-vous.
Mais, merci d’aller avec une intuition infaillible au cœur des choses.

C’est bientôt l’heure du feu, de notre heure de braise, de notre nuit sanglante.


Lui

Lettre d'amour.

Hier soir encore, pour la dixième fois, pour la centième fois, j'ai pensé :
Aujourd'hui, je vais oser lui avouer, me lancer enfin avec mes mots, et lui déclarer...

Et puis, chaque fois il y a quelque chose dans la beauté, dans ton  regard qui me fascine, dans ce si joli sourire qui me paralyse, et par timidité n'ose t'exprimer mes sentiments !

Alors je me jette à l'eau, à vrai dire par écrit.
Il m'est de plus en plus difficile de continuer à faire semblant, d'être totalement indifférent à ton charme, à ta voix si mélodieuse, d'être cet ami qui t'accompagne et où, mon cœur ne cesse de battre de plus en plus fort : A-t-il raison d'espérer, a-t-il tort ?

De mon rêve le plus secret, ces quelques mots déposés sur cette feuille de papier...
Sache que mes sentiments sont bien plus... qu'une belle amitié !

T'exprimer mon amour, j'en rêve depuis fort longtemps ; faire avec toi de jolies promenades ; passer des soirées en tête à tête enlacés et te combler de mots d'amour ; tout connaître de toi, tout comprendre, et tout partager ensemble ; te protéger et te chérir, jusqu'à la fin...

Te déclarer mon amour de vive voix, j'aurais préféré.
J'aurais préféré... j'aurais tant aimé ! Mais ne le pouvais.

 

Julianna 2

Je l'embrasse sur la bouche, puis parsème de baisers sa joue, sa mâchoire et son cou.
Mes mains veulent parcourir son corps… de sa nuque à sa gorge, aller vers le haut de sa poitrine, vers le bas pour caresser ses seins que j’apprécie.
Son contact, sa peau, son corps chaud me font frémir autant que son contact.

Je suis content que je n’aie plus à l'attendre. La façon dont ses yeux bleus s'illuminent lorsque je la touche. Ils me font croire, savoir qu'elle n’a pas besoin de dire quoi que ce soit d'autre.

Au début, je m'étends simplement à côté d'elle, appuyé sur un coude, contemplant son visage.
C'est comme si je ne peux pas croire qu'elle est vraiment là avec moi dans se lit. Je lève la main et touche sa joue légèrement avant de baisser la tête pour amener ma bouche à la sienne.

Je caresse sa joue et son cou de mes doigts, le haut de sa poitrine et son sein.
Son dos se cambre un peu, envie de la serrer dans mes bras, touchant de mes doigts son mamelon. Je les trouve tendus de désir, attendant que je joue avec… ce que je fais.
Elle… à cette caresse. Sent-elle quelque chose comme des étincelles électriques la traverser lorsque je la frotte doucement, masse et serre.

J’enlève ma bouche de la sienne. Je poursuis mon chemin avec lenteur, couvrant de baisers chauds sa bouche, son cou que je mordille… et son autre sein, effleurant de sa langue la peau crémeuse.

Sa main glisse sur mon dos, ma nuque, ma tête alors que j’embrasse et caresse ses seins.
Elle veut me tirer à elle, mais se force à rester immobile. Elle sent combien j’ai attendu d'être en mesure de la toucher de cette façon. Même si elle brûle de me retourner mes caresses, elle se livre simplement et complètement à moi.

Je titille son mamelon avec mes lèvres et ma langue jusqu'à ce que sa respiration se fasse rapide et qu'elle pousse un gémissement qui ressemble à mon nom. Je caresse de ma main son ventre, sa hanche et descends le long de sa cuisse. Mes doigts coulent sa peau brûlante. Comme je ramène ma main vers le haut de ses cuisses, elle les ouvre un peu.

Mes doigts effleurent ses lèvres humides et gonflées, je sens une vague d'humidité entre ses jambes. Elle gémit de nouveau. Mes doigts se crispent en sentant sa réaction, mon érection palpitante contre sa hanche. Mes yeux se ferment pour goûter aux sensations ressenties.


J’approche ma bouche de la sienne au moment où je presse mes doigts fermement contre son clitoris.
J’attrape son gémissement avec mon baiser, plongeant ma langue dans sa bouche. Ma langue frotte la sienne en cercles lents, suivant le mouvement de mes doigts… Mon baiser devient frénétique, je relâche sa bouche pour la laisser haleter de plaisir, les yeux fermés, les joues rose vif. Séduis par la vue de ma Fleur, enivré par son parfum et accro à la sensation. Je continu caresser son clitoris… plus vite, plus fort.

Elle gémit, soulevant ses hanches imperceptiblement, Elle sen la tension monter délicieusement. Cela commence au fond de son sexe, mais se propage rapidement pour combler son corps tout entier. Son mont de Vénus se lève et retombe de lui-même, Il cherche mon contact, ses plis humides aspirent à me sentir au plus profond d’elle.
Je glisse deux doigts dans sa fente en pressant fortement contre son clitoris avec son pouce. Je la sens venir frémissante autour de mes doigts. Le sang bat dans ma verge…

Je baisse ma tête pour appuyer mon visage contre ses seins
— Tu es magnifique.
J’embrasse ses seins et enlève lentement mes doigts comme une caresse, avant de me positionner sur elle. Je m'installe entre ses cuisses rondes. Une des envies qui avait occupé mon esprit tant de fois, mais maintenant c'est réel. Je l’embrasse et saisis ma queue et la guide vers elle.
Je frotte mon gland contre son clitoris maintenant sensible. Ses hanches s’offrent et ses bras me serrent, mais je reste comme cela jusqu'à ce qu'elle me demande d’entrer en elle… Je l’embrasse ma bouche contre la sienne, nous reprenons notre souffle. Et je glisse mes lèvres sur le côté de son cou et déplace ma verge contre elle.
Doucement avec baisers chauds et lents ; je sens contre ma verge vague de chaleur humide de son vagin.
Avec un bruit presque animal, je m’enfonce en elle… je m’enfouis toute ma longueur en elle… je me tiens immobile un moment. Le sang bat dans ma verge.

Je sens sa chaleur, l'humidité de son excitation, la douceur de ses courbes pleines. Lui aussi, Je souhaite reste en elle dans ce moment parfait pour toujours !

Son corps vibre, je réponds  au sien, mes hanches se reculent légèrement pour que je puisse à nouveau pousser vers l'avant. Je bouge lentement au début… La regarde avec adoration, ses yeux bleus qui s’ouvrent et se ferment, sa bouche qui respire plus vite. Je bouge un peu plus, la faisant entrouvrir ses lèvres et fermer ses yeux.
Je sens son vagin, ses muscles se serrent, frémissent autour de mon sexe.

Je veux ne laisser aucune partie de son corps intouchée. Les caresses parfois lentes et douces, parfois enflammées et presque folles de désir, les heures… qui suivent sont passionnées et affectueuses.
C'est pour moi une lutte de me retenir, j’ai envie de la sentir venir. Après cela… Je ne veux plus avoir le contrôle et je jouis en elle. Je l’attire vers moi pour un baiser passionné.

Julianna



Je me mets à genoux devant et glisse les mains sur son corps, remonter le long de ses cuisses. Incapable de résister à l'envie de titiller son sexe, de le goûter du bout de la langue… Je sens l’odeur de son sexe. Il me semble qu’elle a l’odeur d’une rose le matin.

Ôter sa petite culotte. Je la déclarée hors la loi, il n'est pas question qu'il y ait un obstacle entre moi et ce que je désire, je pose les mains entre ses cuisses laiteuses bien écartées afin de m’offrir la vue de son corps, de son sexe que j’ouvre de mes doigts. Je caresse lentement sa peau, prends mon temps, je suis lent, sensuel… Envie de la sentir en manque, qu’elle est envie de mon contact, de moi, de mes caresses. Je vois l’humidité de cette envie et sens l’odeur enivrante de son désir.

J'enfouis mon visage entre ses cuisses. Ce n’est plus la rose : c’est l’odeur d’un sexe de femme excitée, d’une femme qui veut plus. Je souffle sur sa chair et malgré moi, je mordille sa peau. Ma langue cherche aussitôt son clitoris… Doucement je pose la langue sur ses lèvres et son goût de cyprine. Je passe ma langue entre ses grandes lèvres, cherche les petites avant d’aller un peu plus haut pour trouver son petit bouton qui grossit entre mes lèvres. Les jambes bien écartées, elle se donne à moi. Mes mains sont sur ses fesses. Je la maintiens un instant ainsi avant de faire passer un seul doigt dans sa raie. Je sens bien la rotondité des fesses, et enfin le petit trou.

Je sens qu’elle mouille de plus en plus. Je continue de lécher avec succès et bonheur pour moi. Son jus coule dans ma bouche. Je m’en régale, depuis le temps...


La, ta, ma Bouche




J’aime ta bouche ses contours, sa forme et surtout l’utiliser.

Même si je ne suis pas un adepte du « baiser » du fameux « French kiss ».
J’aime l’idée que tu saches que cet orifice est à mon service.

Embrasser est tellement lourd de symbolique, chargé de culture qu’il est difficile de ne pas se perdre dans les méandres de nos croyances.

Pour quelle(s) raison(s) nous embrassons-nous exactement ?
A quoi sert le baiser ?
Je ne suis pas psychologue…
J’ai lu lors de mes recherches que :
*    Il permettrait d'évaluer (on ne sait trop comment) la qualité des gènes d'un potentiel partenaire.
*    Il serait utilisé pour accroître l'excitation, notamment pendant les préliminaires.
*    Il servirait à maintenir une relation.
Et aussi
*    Dans une relation, les femmes attachent davantage d'importance au baiser que les hommes.
*    C'est aussi le cas des hommes et des femmes qui estiment qu'ils sont plus séduisants que les autres, ou ont plus de relations à court terme et d'aventures.
*    Dans le cadre de relations courtes, c'est avant la relation sexuelle que le baiser est considéré comme important, bien moins pendant et après.
*    Dans les relations longues, il est quasiment tout le temps important.
*    La fréquence du baiser serait liée, dans une relation, à la qualité de celle-ci.
*    Le rapport des femmes au baiser romantique dépendrait également de leur cycle menstruel ainsi que du stade de leur relation.

Et moi ?
Je n’ai pas de réponse… Je sais simplement que les lèvres, la bouche sert à absorber l’extérieur. Lorsque l’on porte quelque chose à sa bouche c’est pour se nourrir (forte symbolique) et aussi pour intégrer l’autre le baiser est-il aussi dans notre esprit cette idée ? Le coté anthropophage de je t’embrasse pour que tu sois en moi pour que nous soyons en « fusions » ?

Je ressens, l’envie de posséder cette bouche.
Voir du rouge, voir cette bouche parée de rouge est pour moi un appel qui veut dire : « Ma bouche est rouge pour que tu viennes en moi ». Un phare qui me demande d’entre dans le port.
Et il possible de faire un rapprochement entre les lèvres buccale et vaginale ? Cette couleur rouge des lèvres, ce brillant…
Cette bouche, ta bouche est donc là pour m’absorber, me recevoir en toi entièrement, tu m’ingères, m’intègre en toi.
Ne pas me recevoir est-il un refus de moi ?

Ouvrir ta bouche, prendre mon doigt, le sucer… donne l’idée que mon sexe est à sa place, que tu vas le prendre pour le caresser, qu’il est chez lui.
Je suis plus exigeant, je veux que tu aimes que je possède ta bouche et aussi que tu absorbe mes fluides, le liquide pré-séminal, le sperme aussi. Le refus de me boire est pour moi le refus de ta soumission.
J’aime l’idée et l’acte de me savoir couler au fond de ta gorge et que tu m’accepte totalement.
Et petit à petit je vais plus loin même si c’est une femme qui m’a fait découvrir l’approche de l’urologie. Je sais que cette activité est pas très bien perçu… pourtant cérébralement c’est pour moi énormément « jouissif » de me sentir bu par ma soumise. Accepter l’acte et s’abandonner à ce que veut son dominant. Là, à mes yeux la soumise va plus loin dans son abandon.
Boire un homme n’est pas anodin, boire son Maître son dominant est vraiment un acte d’abandon.

Et le baiser ?
Nous sommes toujours dans l’intégration de l’autre. L’embrasser pour échanger nos fluides et nos corps pour « calibrer » l’autre comme suggéré en haut de l’article.
Embrasser… nous informe sur l’autre sur son envie de continuer, de se donner, d’offrir, de partager.
Et pour moi la bouche est un réceptacle que la soumise offre à son Maître, réceptacle qui peut doit accueillir totalement celui qu’elle a choisi.

La fellation est-il un art ?
La soumission est-il un art ?
La soumise doit tout donner à son Maître ?

Utilise moi


Tout est là

Carré rouge




– Quand mes mains touchent ta peau, dessinent des arabesques sur ton dos… effleurent ton ventre d'un doigté discret...
– Quand mes paumes épousent tes seins, leur chaleur embrase tes reins et plus rien n'a d'importance…
– Quand dans ton regard je vois s'allumer la flamme du désir...
– Quand mes doigts taquinent tes lèvres, tout mon être se prépare...
– Quand tes mains me cherchent à leur tour, libère et jamais ne se lassent de courir les contours de ce membre né pour donner du plaisir et en recevoir...
– Quand enfin je me glisse entre tes lèvres, que je sens ta chaleur… contre ma verge.
– Quand tu plonges ton regard dans le mien, que tu gémis et que tu aspires à...
– Et quand enfin je libère ce plaisir contenu dans ta bouche…

Gourmandise lointaine

Profiter de tes sens.
Envies de te caresser de glisser mes mains sur tes seins, pardon je vais trop vite…
Mes mains, mes doigts longent ton corps jusqu’aux renflements de tes seins, ses seins que j’adore sentir, taquiner, enrober lorsque je m’endors près de toi.


Mes doigts te donnent-ils des frissons ?
Est-ce un plaisir sensuel ? Te sens-tu envahie de douceur, de l’envie de t’abandonner à la caresse ?



J’imagine que tes tétons durcissent sous ma main, une légère humidité nait-elle entre tes cuisses ? Le soupir au bord des lèvres, si mes doigts plus insistants continuent leur parcours ?


Là j’ai des images, des envies de te prendre, de te posséder, de te voir offerte soumise à moi. Aller dans ta bouche, dans ton sexe, te sodomiser sentir que tu t’ouvres, t’écartes sans retenue à mes besoins. Que ton corps demande, supplie d’être pénétré là maintenant !
Qu’il sait que tu ne me refuseras rien, cette envie… besoin d’être mienne !
Je veux t’entendre crier :
« Viens, prends-moi, enfonce-toi, emplis-moi ! », cela reste dans ta tête.


Mes mains dessinent régulièrement tes seins et frôlent ton sexe.
Je t’entends soupirer…


Restes-tu « sagesse » ou ces caresses éveillent des idées, des envies qui deviennent plus pressantes ?


Les images sautent dans ma tête.
Je t’imagine maintenant ; bras en croix jambes ouvertes, attachées… Attendant avec envie la reprise des douceurs. Mes caresses sont plus sexuelles que sensuelles, plus charnelles.
Ton envie se dévoile ?
Te cambrer davantage, chair de poule et frissons, humidité et tension, souffle et bouche humide sur ma langue pincée, petits cris et gémissements...
As-tu envie là que je vienne dans ta bouche ?


Tu es offerte liée impudique à mon regard.
Aveugle… même par un bandeau que mon imagination vient de mettre sur tes yeux.
Ton corps est parcouru de mains en tous sens sur tes zones érogènes. Tes seins que j’ai envie de caresser, tirer, pincer…

Ta fente que je frôle, puis lui donne des claques… je la sens humide de plus en plus à chaque coup. Tes cuisses essayent de se refermer et de s’écarter en même temps sous les sensations contradictoires.


Envie du goût d’un baiser sur la bouche… Puis que ma langue roule sur un téton et qu’un doigt s’attarde sur ton clito qui s’humidifie encore plus. Ce doigt devient plus intrusif, il glisse dans cette fente pour entrer en toi. C’est chaud, doux et affolant.


Là je veux que Ma Douce me demande de la posséder qu’elle demande que mon sexe aille dans sa bouche…
Je sais que le désir est déjà dans sa tête, l’image est là, l’envie commence à devenir très forte.
Si je présente un doigt devant ta bouche, tu le suces, l’aspires comme un sexe. Ta langue l’enrobe de l’ivresse de tes besoins...
Tu ondules agitée et retenue par les liens, des mouvements d’envie et de protection entravés par ces cordes, offerte sans défense.


Le collier autour du cou qui t’informe que tu n’es plus qu’une chose, en fille, une gourgandine de plaisir. Tu n’es plus que sensations, besoin d’être prise, possédée…


Ton clitoris si sensible gonfle et palpite sous chaque pulsation de ton cœur, cela devient gênant. Envie que je le touche et en même temps tu sais que les sensations vont être fortes, trop fortes, presque douloureuses… Mon doigt sadique se pose dessus et tes jambes se crispent sous le contact.


Tu tends ton sexe, ta bouche, tes seins durs… tu veux encore et encore du plaisir et jouir... folle d’être dévorée, exaltée par le désir. Tu sens mon sexe raide sur ta joue. Son odeur enivre tes narines dilatées. Tu le veux dans ta bouche, tu veux qu’il te possède, qu’il s’enfonce en toi qu’il t’envahisse, le sentir te remplir doucement au plus profond de toi.


Tes seins, ton ventre, tes cuisses.... tout en toi veut cette intrusion.
Je ne suis plus qu’un sexe tendu vers toi, que tu veux dans ta bouche et que je te refuse.


Imagines mon ventre tendu vers toi.
Imagines ce sexe que tu veux, que tu adores caresser.
Imagines qu’il ne rentrera dans ta bouche que si tu dis ; « viens en moi ! ». Je sais que dans ta tête tu le cries, je sais que tout ton corps veut enfin l’accueillir.


Le besoin impérieux du plaisir que tu peux me donner... Sucer mon sexe, l’aspirer, enfin sentir son contact dans ta bouche, la douceur du gland, ses replis, ses gonflements lorsque le plaisir change… même l’urine que ton Maitre ose te faire boire, cela tout cela fait partir de ton plaisir et du plaisir que tu donnes.


Tu veux me prendre au creux de tes joues, que tes mains coincées par les liens voudraient guider vers ta bouche sensuelle est gourmande.
Demande-le !


Que tu puisses l’aspirer ce sexe tendu qui ne demande que cela. Aller dans ta bouche, s’enfoncer et se sentir sucé, enroulé, goûté.


Tu sens enfin ce sexe dur gonflé qui frappe ta joue de l'intérieur. Une main serre ton sein.
Tu sens l’excitation de ce Maitre ?
Cet homme qui comme toi a rêvé cette scène !


Ohhhhhhhhhh Ma Douce je la vois bien cette image. Mon sexe est dur à l’idée de cette scène envie de te sentir envie de te remplir et de me vider en toi. Envie et besoin de savoir que toi aussi tu aimes cela.
Envie de te posséder, de t’aimer, de te perturber.


Tu sais que c’est ma queue que tu goûtes, que tu suces, que tu aspires et lèches goulûment, pour mon plaisir et le jeu que tu partages, avec ton amant et Maître. Ta langue joue sur la fente ouverte du gland suave, le goût de l’envie. Tu ressens le désir, la vigueur la force du mâle. La tension de mes muscles et la dureté de mon membre sous tes caresses. Tes mains se tordent de ne pouvoir saisir cette queue, ces couilles…  Alors, tu suces, aspires plus vite plus fort et perçois mon plaisir.


Ton sein pétri de l’envie contenue, retenue. Le sexe emplit ta bouche, coulisse entre tes lèvres. En bonne soumise, tu goûtes et aspires, suces et baves ta salive et mon désir.


Excitation hallucinante, je donne et reçois.
Je veux encore me vider en toi j’aime que tu me boives, j’aime uriner dans ta bouche savoir que tu m’acceptes que tu es mienne. J’aime te faire jouir, j’aime te posséder et savoir que tu es là…que tu es à moi.
Sentir, voir ton corps jouir se contracter sous mes caresses lorsque mes doigts te fouillent, t’ouvrent et te possèdent.


Et là… tu reçois la chaleur mon sperme sur ta langue tendue gourmande. Mélangé à ta salive le liquide coule de ta bouche. Double jouissance pour moi physique et mentale savoir que ma femme soumise me boive…


Oups ce n’est qu'un songe…
Que tu t’offres à nouveau nue, bras en croix, jambes écartées, couchée devant moi qui bande avec l’envie de te combler et de te prendre. Totalement abandonnée, offerte, ouverte, liée, aveugle, les images imaginées avant...
Que ton corps jouit, s’ouvre, se ferme, serre, tremble, enserre, coule, geint, crie, s’étire, se crispe, transpire, exulte. De mon sexe, de mes mains, mes doigts ma bouche partout, toujours.


Souvent après ta jouissance tu demandes grâce... pitié et implores le calme. Pourtant ma main recommence des caresses, sans s’interrompre... en fait ; je les veux douces et apaisantes, calmes et reposantes.


Que mes désirs, mes envies, mes travers te réjouissent, le sourire émerveillé au coin des lèvres, envie de toi… de tes caresses, de tes plaisirs, tes gémissements exprimés. Que tu te donnes…je ferme les yeux, je profite et je prends ce rêve que tu sois ma femelle comblée...