Comme toujours...

Comme toujours, j’ai envie de toi dès que mes yeux se posent sur toi…
Je t’ai excité, et me suis excité par la même occasion, toute la journée en t’écrivant des récits et m’imaginant ce moment. Je ne peux résister à l’envie de te dominer.

Envie de toi…
« Laisses-moi te dominer un peu, juste un avant-goût de ce qui nous attend plus tard… tu veux bien ? »

Tu t’agenouilles devant moi.
Les yeux dans les yeux.
Tu trembles dans l’attente de la suite, du plaisir à venir… joueuse, soumise, amoureuse…
Peut-être que ta bouche s’avance comme pour venir à la rencontre de mon sexe…

Patience… je veux d’abord que tu sois folle de désir et d'impatience, je veux te faire perdre la tête un peu...


Les yeux dans les yeux.
J'adore cet instant magique où nos regards se croisent, ces regards qui en disent longs sur notre désir, sur ton désir, ton abandon…
Que je devine.
J’y lis ; « je suis tienne ! ». J’aime cela.
Je pose ma main sur ta gorge, là où est ton collier, doit être ton collier.
Ma main sur ta gorge est comme un collier, elle exerce une pression, juste un peu, assez pour que tu saches que je suis ton Maître.
Mes doigts de l’autre main se posent sur tes lèvres.
Je les caresse, et me glisse dans ta bouche. Ils sont comme un sexe que tu aspires. Ta bouche est à moi.

« Tu es mon esclave Laure ! ».
Je le lis dans tes yeux…
« N’as-tu rien oublié ? ».
Je vois que tu cherches… Ma main sort de ta bouche je te gifle.
J’aime cela, j’aime te donner des gifles.
Je vois tes joues rougir je vois ton regard changer. Il me pose la question : « Quoi ? ».

Je caresse tes seins. Les serres un peu entre tes mains, ttire la pointe entre tes doigts. J’adore faire cela !
J’empoigne fermement et le serre fort. Je le relève légèrement et flanque une petite tape sur chaque sein.

Ma main est toujours sur ta gorge, elle te tien.
« N’as-tu rien oublié ? ».
Là ta respiration s’active…
Tu cherches, proposes, supposes…
La réponse me convient où je veux plus ?

Je te gifle de nouveau.
Te regard dans les yeux. Je lis ton amour, ton désir… autre chose aussi.
Ma main descend le long de tes seins, je les laisse pour le moment. Ton ventre, je descends et rendu au-dessus de ton sexe, je jauge ton plaisir.

Mouillée ?
Pas mouillée ?
À l’aide de mes doigts, j’écarte tes lèvres…
Sans te pénétrer, je fais glisser mes doigts sur ton sexe. Je le caresse doucement, la peau est lisse, chaude et gonflée d’envie.
Tu anticipes…
« Écartes tes cuisses ». Mots susurrés, que tu dois plus deviner qu’entendre.
Mes doigts glissent sur toute la longueur de ton sexe… Je titille la peau, pince tes lèvres entre mes doigts.

J'aime quand mon corps se rapproche, que mon instinct prend le pas sur tout le reste, que l'envie de te dominer, dominer... De te soumettre de te de posséder et que tu t’abandonnes à mes exigences. Que tu sentes comme mon objet sexuel…
Et cette idée, doit t’exciter et elle me plait au plus haut point !

Papillon

Elle :  Toute la semaine j’avais ressenti des papillons de nervosité à l’idée que j’allais m’abandonner à toi… Qu’allais-tu me demander ?
Nous devions nous retrouver à 20 h à la gare de Pontoise. J’avais mis le collier, le plug et les boules de geisha dans mon sac à main, comme tu l’avais ordonné. Dès que je suis sortie de la gare, je t’ai vu qui m’attendais dans ta voiture, le visage penché sur quelque chose que je ne voyais pas, j’ai su plus tard que tu m’envoyais un message, j’ai souris, heureuse de te voir enfin après cette longue attente.
J’avais choisi ma tenue exprès pour toi  et j'espérais que tu aimerais.
Moi Tenue fraîche et vaporeuse, même un homme te l'a dit : "Votre robe est assortie à votre valise."
J'ai aimé qu’un autre homme ait pu voir que tu rayonnais.
Elle : Merci mon Doux Maître, mais moi je ne voyais que toi, le restant du monde m'indiffère...


Elle : Nous y étions enfin ! J’avais rêvé de ce moment et j’imagine que toi aussi tu l’attendais. Durant le voyage, je m’appliquais à accepter tes caresses, et à obéir à tes ordres malgré ma gêne que j’essayais de dissimuler… Je pouvais aussi enfin te toucher et laisser ma main caresser ta cuisse sans oser aller plus loin bien que j’avoue en avoir eu envie…
Moi  Mmmm, j'apprécie tes petits gestes : "Il est à moi je le veux, et je veux le toucher, qu'il sache cela..." J’aime sentir ta main sur ma cuisse lorsqu’elle ose. Voir des fois la sentir caresser ma verge à travers le pantalon.


Elle : Ce voyage fut finalement plus soft que je ne l’avais imaginé. J’en étais à la fois soulagée et légèrement sur ma faim quand même…
Moi J’avais des idées, la conduite et le vagabondage pas toujours facile.
Te caresser… et frustrer la Douce, le Doux !


Elle : Une fois arrivés, tu m’as donné la première partie de la punition promise… les 10 claques sur les fesses. Pour une fois j’ai apprécié cette fessée comme je les aime : pas trop fortes. Mise en bouche diras-tu plus tard…
Moi HI hi oublié 10 ^^ !


Elle : Nous étions sur le point de partir au restaurant quand tu m’as demandé si j’avais gardé le plug, les boules de geisha et mon collier de cuir dans mon sac. Oups prise en faute, je les avais déjà retirés, pensant ne pas en avoir besoin. Comme je te proposais de les reprendre tu m’as penchée sur le canapé en me disant que ça serait aussi bien de me mettre le plug dès maintenant. Je sentais ton sourire dans mon dos pendant que tu baissais ma culotte de dentelle et que tu enfonçais le petit plug dans mon anus.
Moi Jolie culotte ^^.


Elle :  Finalement, heureusement que nous n’allions pas marcher beaucoup… Ce truc ne se fait pas oublier facilement ! Ça plus les seins nus sous ma robe c’était déjà pas mal. Quand je te vis glisser le collier dans ta poche, je fus à la fois inquiète et ravie. Petit moment de flottement ensuite quand j’ai du retirer ma veste à l’intérieur du restaurant Après un coup d’oeil circulaire pour m’assurer que personne ne regardait dans ma direction, je l’ai vite enlevée et me suis assise rapidement. Dans le restaurant nous discutions de choses et d’autres, éloignées de ce que nous nous apprêtions à vivre. L’as tu fait à dessin pour que je me détende ? Je me suis posé la question. Plus tard, quand tu m’as passé le collier autour du cou à la sortie du restaurant, j’ai réalisé que j’attendais ce moment depuis longtemps et que j’étais heureuse que tu l’ais fait, même si j’aurais probablement été très gênée si nous avions croisé quelqu’un en rentrant. Par chance il n’y avait personne et j’ai pu profiter pleinement de ce moment ou je devenais encore plus tienne.
Moi  Oui j’ai apprécié ce moment où… rien ne se passe.
Puis te mettre le collier autour du cou Mmmm…
Nous commencions !


Elle : Tout en remontant, je me faisais la réflexion que maintenant je n’avais plus mon libre arbitre et que l’heure du choix était passée. Pourtant, autant j’avais été nerveuse, jusqu’à ce soir, autant je me sentais calme et déterminée maintenant que j’allais faire face à mon Dominant d’amour.
Je ne m’attendais pas à ce que tu me dises que tu souhaitais que ton esclave te lave et que tu m’attendais dans la douche quand je serais prête. Tu ne m’avais pas donné de consigne particulière alors j’ai ôté les vêtements que je portais pour éviter de les mouiller et aussi parce que je me disais que tu préférais peut être être lavé par une esclave nue.
Moi Oui ^^.


Elle :  J’ai aimé ce moment. Savonner ton corps en suivant tes directives, puis te sécher ensuite, même si je me sentais un peu malhabile parfois. Je me sentais soumise, esclave servant son Maître du mieux qu’elle pouvait.
Moi Ce fut bien. Juste ose décalotter le gland il doit être propre aussi.
Et plus sécher mes fesses^^.
Elle : J’en prends note Maître


Elle :  L’heure de la seconde punition avait sonné. Je sentais le dominant prendre les commandes, y compris dans la façon dont tu m’embrassais. Tu me fis mettre à genoux devant toi. Tout en prenant place je me demandais ce que tu allais faire et je m’inquiétais un peu pour mes seins en repensant au “travail des seins” mentionné sur le rapport des punitions.
Puis tu as commencé à me parler, certainement la mise au point promise, mais mon cerveau n’enregistrait déjà plus tes paroles. Je ne pouvais plus que regarder ton visage qui me souriait je crois. Et soudain la première gifle est tombée… Un vrai choc ! Pas la douleur, même si elle était présente. Non une immense surprise suivie aussitôt d’une sensation de bien être inexplicable : j’aimais cela, mon corps aimait, ma tête aussi. Je te regardais, inconsciente de ce que tu pouvais lire dans mes yeux. Tu me parlais et je m’efforçais de te répondre. Je devais faire un effort, comme pour me réveiller, ou sortir d’un état second. Et les gifles se succédaient à une cadence parfaite. Et je les acceptais sans broncher. Je les espérais même… Qui aime bien châtie bien dis la sagesse populaire. Je me sentais soumise aimée, châtiée et choyée en même temps ; recevant toute l’attention de mon Maître qui me corrigeait de mes errements. Je ne saurais dire combien de gifles j’ai reçu ni combien de temps cela a réellement duré. Pour moi ce fut un moment magique et parfait ou le temps s’était arrêté et ou rien d’autre n’existait que toi et moi et ce lien si fort qui nous unissait…
Moi  J’ai aussi giflé tes seins à plusieurs reprises.
Elle :  Cela me revient maintenant par bribes. Mais Je crois que les gifles ont tout occulté. Je me souviens de ta main soutenant mon sein avant de frapper le sein ou le téton mais il me semble que c’était une cravache qui me frappait


Elle : Quand ce fut fini j’étais un peu sonnée, les joues soulagées mais ressentant déjà un manque que je ne comprenais pas encore. Je me relevais un peu chancelante. Je pensais me laver ensuite ou du moins me démaquiller mais tu avais d’autres projets en tête…. Dire que je n’étais pas préparée à ce qui allait suivre est un euphémisme !
Moi Moi oui moi qui pensais que donner une gifle serai compliqué…
Je me demandais comment j’allais le faire ! Crois moi je redoutais ce moment je me suis dit la barre est haute (pour moi). Que je n’oserai pas et…
La première gifle part. Je vois dans ton regard une “lumière” et aussi ton silence. Tu n’as rien dit. Je recommence, encore et encore… J’y prends goût et il me semble que toi aussi.
Il faut arrêter à un moment ! Non encore une !
Elle :  Oui mon Doux Maître j’ai aimé immédiatement cela et j’avais aussi envie que ce moment dure. Pour ma part je n’ai jamais eu d’à priori contre les gifles donc ce fut peut être plus facile de les accepter de ta part. Pour moi je suis à toi et tu peux donc tout faire je n’ai pas à choisir l’endroit que tu souhaites frapper.


Elle : Que dire… Quand j’ai compris ce que tu voulais je n’ai pas eu d’hésitation. Je t’ai obéis du mieux que je pouvais et me suis abandonnée à ta volonté. Ce fut à la fois dur et facile. Dur pour mon corps qui se rebellait, dur car quand tu étais profondément en moi je ne pouvais pas respirer et si j’essayais j’avais immédiatement le réflexe nauséeux, que mes yeux pleuraient et que mon nez coulait. Je me disais en même temps que je devais être affreuse à regarder sourire, avec la goutte au nez et le maquillage ravagé… C’est pourquoi j’ai saisi l’opportunité de me rafraîchir quand une nausée plus importante que les autres m’a fait régurgiter un peu. Je te remercie d’ailleurs de t’être occupé de nettoyer les petits dégâts.
Moi Normal que je participe. Cela dépend aussi de la personne. J’aime te bousculer et au fond de moi le Doux dit va doucement hein !


Elle :  Il m’a paru naturel ensuite de revenir me mettre à ta disposition.
Moi Je fus surpris. Elle revient, là j’ai compris que tu avais passé un cap.
Tu es vraiment mon esclave.
Elle : Pour ma part je n’en ai jamais douté Maître d’amour. Je ne t’ai jamais caché que je pourrais aller très loin pour toi...



Elle : Psychologiquement ce fut facile, facile de m’abandonner, je me sentais profondément soumise et j’avais l’envie de te satisfaire, de te donner du plaisir et que tu soit content de ta petite esclave punie^^.
J’ai aimé t’entendre me dire que tu aimais, que tu sentais ma gorge, tous ces mots qui me rassuraient sur ton plaisir et le fait que tu étais content de moi.
Moi Oui l’effet est intéressant. Je me battais aussi contre les deux moi ^^.
Mais l‘effet de pouvoir te contrôler, de m’enfoncer en toi, de te posséder était plus fort.


Elle :  Par contre j’ai vraiment détesté ce qui a suivi et que tu m’as demandé ensuite… Quand tu t’es retourné et m’a demandé de te lécher l’anus, j’ai du faire appel à toute ma volonté pour pour le faire et pour être honnête si je n’avais pas eu peur d’une punition douloureuse je ne l’aurais pas fait ! Je ne m’étendrais pas sur mes ressentis et te dirais juste que je n’ai pris aucun plaisir à faire ça, même pas dans la soumission, et que je souhaite n’avoir jamais à le refaire. J’aurais aimer pouvoir le faire et prendre plaisir à t’en donner de cette manière, mais c’est au-dessus de mes forces.
Moi Je devais savoir si…
Elle :  Je pensais pourtant avoir été claire sur mon peu de goût (euphémisme…) pour cette pratique...
Moi j’aime cela mais j’avais besoin de te pousser dans tes retranchements pour connaître tes limites. Je garde cette pratique pour une punition forte.
Elle : Oui j’ai des limites Maître et celle-ci est une limite haute ou forte je ne sais pas comment on dit. Je préfère de loin boire ton urine et pourtant ce n’est pas simple, que d’être obligée à ça…


Elle :  J’ai adoré que tu me serres ensuite dans tes bras pour un gros câlin réparateur. Pardon d’avoir sali ton joli t-shirt blanc Maître. Car je te trouve absolument craquant dedans !
Quand tu m’as mis le masque, je ne savais pas quoi penser. La punition était elle terminée ou non ?
Je me souviens que tu m’as demandé d’embrasser tes pieds nus. Avais-je ou non le masque je ne saurais le dire. Je me suis alors appliquée à t’obéir. J’aime vraiment le faire. J’aime me soumettre à ta volonté.
Moi Tu avais le masque.
Elle : C’est curieux j’ai pourtant l’impression que je voyais tes pieds en des léchant. Un effet de mon imagination sûrement hihi


Elle : Ensuite est venu le temps de goûter à la (les) cravaches. Mon ressenti est un peu partagé. Je n’ai pas détesté mais je pensais que j’aurais apprécié plus. Le ressenti de mon souvenir était beaucoup plus agréable. Peut être que c’était du à la cravache utilisée ou bien à la force des coups je ne sais pas.
Moi Je n’ai vraiment pas tapé fort. 
Elle : Et pourtant 15 jours après je reconnais encore la marque triangulaire de la cravache avec le petit trou au milieu^^ Cela commence seulement à s’estomper.
Moi je ne voulais pas te “bloquer”.


Elle : Toujours est il que je crois n’avoir que très peu de résistance à la douleur, ce qui ne me facilite pas les choses. Pourtant une chose est sûre je me sentais soumise et prête à accepter ce que tu avais décidé pour moi, même si physiquement cela m’était difficile. J’ai notamment en tête ce moment étrange ou à 4 pattes tu me cravachais les fesses j’avais mal et je sentais les sanglots venir et je me rendais compte que ce n’était pas seulement la douleur qui provoquait cela mais que je ressentais aussi une émotion m’envahir… Je n’en suis pas certaine mais je crois que j’ai pleuré d’abandon à ce moment là. La douleur me faisait presque pleurer et pourtant je n’avais pas l’envie, l’idée de te demander grâce. Je ne sais pas si j’aurais tenu plus longtemps ou non mais à ce moment là je me sentais prête à souffrir encore, quitte à laisser la souffrance s’exprimer par mes pleurs, tant que tu aurais souhaité me cravacher. Il se trouve que tu as arrêté juste à ce moment là.
Moi Je crois comprendre.
Le pleur est peut-être une façon que ton corps a pour exprimer un “réconfort”. Le mot est peut-être mal placé. C’est une façon de laisser la tension sortir, tension de tout ce qui devait se bousculer dans ton esprit.
Elle :  Je pense effectivement Maître que j’avais un trop plein a évacuer et que la douleur à eu raison de ma volonté de ne pas faillir. Je sentais les vannes s’ouvrir malgré moi… La différence c’est que cette fois je n’avais pas envie de les cacher. De te les cacher.


Elle :  Pour terminer tu m’as caressé. Tu voulais que je jouisse, à genoux contre toi, mais cela n’a pas marché comme je m’y attendais… Pourtant j’ai vraiment essayé, un moment j’ai cru y parvenir mais pffft ça c’est envolé et j’ai su que c’était terminé.
Moi : Dommage, je recommencerai.
Elle : Je ressens moins de plaisir comme cela alors ça ne sera pas facile.


Elle : Je te remercie vraiment Maître pour ce magnifique moment que tu m’as offert. Tu as été parfait, attentif et bienveillant, ferme et tendre à la fois tel que je l’avais rêvé. C’est pour toi et par toi que j’ai trouvé la force de me dépasser. Tu as fait de moi une soumise comblée. J’espère revivre des moments aussi forts auprès de toi. Ainsi que tous ces moments de douceur et de tendresse qui les suivent…
Moi : Bel âtre !


Elle : Merci Maître d’amour
Ta Douce esclave qui t’aime.