Cerise 3

J’ai aimé cette attente…cette préparation…j’avais l’impression que vous n’arriveriez jamais…être là…à genoux, les yeux bandés…entendre la porte ; vous sentir arriver et gober votre sexe… J’avais envie que vous vous répandiez dans ma bouche ; vous avez attendu…vous m’avez pénétrée…tous « mes orifices » vous réclamaient. Sourire. J’aime vous sentir jouir. Les coups de ceinture étaient délicieux…vos fessées…j’en demanderais encore et encore. Je me sens devenir votre soumise, quel plaisir, merci, Maître.

Vous me manquez déjà…bonne nuit, mon Maitre.

Cerise 2

2è fois : j’étais gênée. Déjà vous me connaissiez. Expérience !

Sourire

Ces fessées, je les méritais ; j’ai eu des difficultés à les accepter…et même cela, pourtant, me rend mouillée. En écrivant, l’idée même me remets dans cette situation : de m’obliger, je vous le demande... très intellectuel. Insupportable et jouissif.

Oui, j’ai accepté votre sexe dans mon cul…comme çà…j’avais « mal »… et en même temps, l’idée que c’était pour vous, me rendait soumise…je me suis abandonnée à vous et vous avez pris comme vous vouliez. Est-ce vous « Mon Maître » ?

Cerise


1ère fois. Que vais ressentir en le voyant… vais je lui plaire.

Et tout bascule. L’idée de me mettre à genou devient irrésistible. Représente un danger imminent. Celui de s’abandonner …la réalité…inéluctable. Votre façon d’être. Douce et ferme me convient. J’ai aimé me retenir de jouir jusqu’à votre ordre de le faire. Quand vous m’avez mis le rosebud ; j’étais terrifiée. Votre patience et votre volonté. M’ont rendu douce et obéissante. « Il me l’avais dit »; la douleur physique n’est rien alors, l’offrande est plus forte.

Pourquoi vous ? Je ne sais pas.

Paradoxe

Je vous attendais, et pourtant, je n’étais pas prête…

J’ai entendu la clef dans la serrure je n’ai eu que quelques secondes pour enlever robe, soutien-gorge et mettre le foulard.

Vous m’avez touchée, caressée, et à la limite de ma jouissance,

Vous m’avez enculée, fouettée, fessée…Je ne pensais à rien d’autre qu’à ce mal, cette douleur envahissante et les mots que j’avais pensé, répétés pour l’arrêter ne venaient pas ; ce n’était donc pas encore assez !

« Un coup, une caresse »…mon esprit engourdi, à l’affût de votre corps, de votre odeur et de ces mains que j’aime, laissait votre cravache cingler, quand mon corps se protégeait encore.

Quand j’ai senti votre sexe dans mon cul… la douleur fulgurante et puis cette sensation unique, indescriptible ; je me sentais possédée, ravagée, humble, et mon cul s’ouvrait pour vous, mon corps et ma tête en accord.

Et là me voilà rassurée…paradoxe!

Je vous sentais partout… tous mes orifices en éveil, vous attendant,
Je me suis abandonnée, pendue à votre sexe, un moment d’éternité, le temps suspendu…
Mes sens en éveil, guettant les mouvements de votre sexe
Et vous avez d’abord éjaculé dans ma bouche…
J’en ai des marques, je le savais, je les regarde, je les sens.
Des bleus violets: nouveau et déjà souvenir.
Ce soir était enivrant, intense de désirs et plein de plaisirs.

Merci Mon Maître.

Aveu

Ho, Mon Maitre.

Comment j’ai pu. ; Je me sens sale et seule. Je mérite d’être punie ; sans gourmandise.

Parce que je n’ai pas résisté… vous m’avez donné le goût. Mon cul vous réclame.

Et je me suis laissée faire. Je pensais à vous.

Mais je me sens mal maintenant. Pour un instant.de jouissance. Vous me manquez trop ; c’est comme si je vous punissais de votre absence… me pardonnerez-vous ? J’ai joui et je pleure… je m’en veux… et c’est votre punition que j’attends… Je me surprends… Je pourrais mentir, ne rien dire… je ne sais pas le faire… JE VEUX ÊTRE VOTRE SOUMISE. Je vous embrasse. 

Mon Maître.

Erreur



Mon Maitre, je n’arrive pas à faire de compte rendu, pour la bonne raison que j’ai désobéis…

Je me suis écroulée habillée sur mon lit hier nuit.

Comment me faire pardonner ?

Je vous embrasse, Maitre.

Vous ne me croirez peut être... pas.

Vous ne me croirez peut être… pas, mais il me semble que c’est la première fois que j’enlève mes talons au restaurant pour caresser des pieds…

Vous savez me détendre.

Vous êtes un havre de paix. Vous écoutez, comprenez, agissez en conséquence, Vous me protégez ; c’est délicieux.

Vous me rendez belle et je souhaite l’être pour vous.

Petit à petit, Je m’abandonne.

Ce moment tellement intense…suspendu ;

Cette parenthèse dans la vie quotidienne, réelle et féerique ;

Oh combien Merci.

Là attachée sur la table à votre Merci.

Quel délice… tellement intense que j’en suis restée silencieuse ! A l’aveugle, c’était décupler les autres sens ; je vous entendais, je vous sentais, un peu loin…votre corps, votre souffle qui m’effleurait. Vos mains et votre sexe actifs…comme un défi. J’entendais et j’attendais sans savoir quoi, ma curiosité à fleur de peau, cette envie de bouger pour vous toucher.

Les pinces sur les seins et le sexe moment attendu et redouté. Posées, vous me caressiez en même temps, je pensais mourir de plaisir… et voilà que ces plaisirs me rendent vivante.

Les petites dents font comme de minis décharges électriques…Qui font frissonner et laissent entrevoir là, la limite des mondes de la jouissance attendue et de la souffrance consentie…

J’aime sentir votre sexe dans ma bouche et vos mains sur ma tête, mes oreilles.

Sa façon de se dresser, de changer de forme dans ma bouche et votre sève avec ce goût si particulier que je ne sais encore définir, mais que j’attends, maintenant, comme une récompense.

J’aime vous regarder, saisir les expressions furtives de votre visage.

Ensuite, je suis remplie, pleine de reconnaissance et je ronronne près de vous.

Quand votre absence me pèse, je ferme les yeux et suis encore à vous. Je n’ai plus d’autres envies que vous, m’enivrer dans bras, de votre odeur, de votre voix, de la douceur et la fermeté de vos mains

Après vos visites, je vais revoir la liste ! Et je transforme mes non en oui. Vous avez cet effet sur moi.

Je me sens votre chienne, votre soumise, votre salope et le veux, au plus profond de moi.

Vous êtes Le Maître que j’attendais.

Quelle est cette confiance que je ne connaissais pas ?

Sourire. Merci, Mon Maître.

Moi à 4 pattes

Moi à 4 pattes, un bandeau sur les yeux…excitée déjà par cette attente, voulue.

Rendre compte… je n’ai pas envie de compter ; ces heures que vous me donnez, je les prends comme des cadeaux. J’aurais aimé vous donner plus que du plaisir… mais… ce soir-là était ainsi. Vous m’en avez donné quand même, je vous remercie. J’aime ce qu’il transpire de votre être. Votre façon d’être m’excite, je suis encore centrée sur moi. Je souhaite votre présence et vous plaire et vous faire plaisir…apprenez moi.

Chaque fois l’émotion de vous voir me fait parler pour ne rien dire blabla et blabla… vous donnez par votre attitude la direction à la soirée. Ma tête comprends mais mon cœur est en émoi et mon corps ne sait plus où donner de la tête…Alors comment dire oui, je suis mouillée…de votre présence sans vouloir le dire ; je me retiens de dire, de faire.. . J’ai envie de correspondre à vos désirs. Cela m’immobilise et me ravit. Vos doigts sur mes fesses, votre cravache sur mon cul, qui ne s’ouvre que pour vous.

J’ai su de suite que cette soirée serait particulière. Vous n’avez pas fait de demande d’accueil.

Comme si vous attendiez de moi une spontanéité.

Cette tendresse qui flottait ; Quelle fatigue il transpirait de vous.

Je n’ai pas osé malgré mon envie de vous sucer là…sur le canapé.

Alors nous sommes allés diner.

J’aime que vous preniez mes fesses, vous enfonciez dans mon cul. Ce n’est pas de l’orgasme mais un plaisir suave après l’impression d’être forcée parce que cet orifice sent la volupté d’être pénétré par votre sexe.

Voilà… Malgré mon envie, je laisse ce premier jet…bonne nuit, Maitre.

Cerise 4

Mon Maître,
Vous m’avez tellement demandé ce que je ressens, que, ce soir, je vous écris. Des questions hantent ma tête. « Tendresses dominantes ». ; Que cela signifie t il ?...

Morte de rire ; En l’écrivant je le comprends tout à coup, je le ressens…Cette domination, que vous mettez en place petit à petit, J’apprends à l’entendre ; à l’écouter, je l’aime.

La vérité est subjective, n’existe que dans la tête, il n’y a que les intolérants qui pensent la détenir… chacun a la sienne… c’est la liberté qu’il semble important de choisir…

J’ai peur… « du haut de mes 58 ans. » ; De mon poste de direction, que je conduis à merveille…Tout me réussit dans la vie sociale ; Mais dans ma vie affective… de femme… je ne sais pas donner…apprenez moi.

Peut-être vous ais-je choisi pour cela… entre autre… aussi… pour votre connaissance de l’humain et des femmes, en particulier.

Votre calme est un miroir… et votre sexe, un délice. Sourire.