Paradoxe

Je vous attendais, et pourtant, je n’étais pas prête…

J’ai entendu la clef dans la serrure je n’ai eu que quelques secondes pour enlever robe, soutien-gorge et mettre le foulard.

Vous m’avez touchée, caressée, et à la limite de ma jouissance,

Vous m’avez enculée, fouettée, fessée…Je ne pensais à rien d’autre qu’à ce mal, cette douleur envahissante et les mots que j’avais pensé, répétés pour l’arrêter ne venaient pas ; ce n’était donc pas encore assez !

« Un coup, une caresse »…mon esprit engourdi, à l’affût de votre corps, de votre odeur et de ces mains que j’aime, laissait votre cravache cingler, quand mon corps se protégeait encore.

Quand j’ai senti votre sexe dans mon cul… la douleur fulgurante et puis cette sensation unique, indescriptible ; je me sentais possédée, ravagée, humble, et mon cul s’ouvrait pour vous, mon corps et ma tête en accord.

Et là me voilà rassurée…paradoxe!

Je vous sentais partout… tous mes orifices en éveil, vous attendant,
Je me suis abandonnée, pendue à votre sexe, un moment d’éternité, le temps suspendu…
Mes sens en éveil, guettant les mouvements de votre sexe
Et vous avez d’abord éjaculé dans ma bouche…
J’en ai des marques, je le savais, je les regarde, je les sens.
Des bleus violets: nouveau et déjà souvenir.
Ce soir était enivrant, intense de désirs et plein de plaisirs.

Merci Mon Maître.

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