Vous ne me croirez peut être... pas.

Vous ne me croirez peut être… pas, mais il me semble que c’est la première fois que j’enlève mes talons au restaurant pour caresser des pieds…

Vous savez me détendre.

Vous êtes un havre de paix. Vous écoutez, comprenez, agissez en conséquence, Vous me protégez ; c’est délicieux.

Vous me rendez belle et je souhaite l’être pour vous.

Petit à petit, Je m’abandonne.

Ce moment tellement intense…suspendu ;

Cette parenthèse dans la vie quotidienne, réelle et féerique ;

Oh combien Merci.

Là attachée sur la table à votre Merci.

Quel délice… tellement intense que j’en suis restée silencieuse ! A l’aveugle, c’était décupler les autres sens ; je vous entendais, je vous sentais, un peu loin…votre corps, votre souffle qui m’effleurait. Vos mains et votre sexe actifs…comme un défi. J’entendais et j’attendais sans savoir quoi, ma curiosité à fleur de peau, cette envie de bouger pour vous toucher.

Les pinces sur les seins et le sexe moment attendu et redouté. Posées, vous me caressiez en même temps, je pensais mourir de plaisir… et voilà que ces plaisirs me rendent vivante.

Les petites dents font comme de minis décharges électriques…Qui font frissonner et laissent entrevoir là, la limite des mondes de la jouissance attendue et de la souffrance consentie…

J’aime sentir votre sexe dans ma bouche et vos mains sur ma tête, mes oreilles.

Sa façon de se dresser, de changer de forme dans ma bouche et votre sève avec ce goût si particulier que je ne sais encore définir, mais que j’attends, maintenant, comme une récompense.

J’aime vous regarder, saisir les expressions furtives de votre visage.

Ensuite, je suis remplie, pleine de reconnaissance et je ronronne près de vous.

Quand votre absence me pèse, je ferme les yeux et suis encore à vous. Je n’ai plus d’autres envies que vous, m’enivrer dans bras, de votre odeur, de votre voix, de la douceur et la fermeté de vos mains

Après vos visites, je vais revoir la liste ! Et je transforme mes non en oui. Vous avez cet effet sur moi.

Je me sens votre chienne, votre soumise, votre salope et le veux, au plus profond de moi.

Vous êtes Le Maître que j’attendais.

Quelle est cette confiance que je ne connaissais pas ?

Sourire. Merci, Mon Maître.

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