Tes caresses sont plus douces que le vin, quand elles se mêlent à l’odeur de tes parfums exquis ; ton nom est une huile épandue…
Entraîne-moi auprès de toi ; courons ensemble. Le roi m’a fait entrer dans son harem. »
Je sais très exactement ce qu'exprime le cantique des cantiques c'est pour cela qu'il me touche autant...
Savez-vous, vous, ce qu'il exprime de si subtil mais si fort ?
L'Amour et l'Amour en plénitude ! Amour humain ! Qui est comparé à l’Amour Divin.
C'est à dire que pas une parcelle de la vie de la belle n'est ignorée de son Seigneur et Maître (homme comparé à Dieu), et ce n'est pas que la belle qui cherche son Maître mais Lui qui la cherche aussi et veut la séduire, pour lui donner le meilleur de Lui-même, pour la sauver, pour lui rendre La Vie qu'elle a perdu sur tous les chemins de son existence...
Parce qu'Il la connaît, il sait sa vie, ses erreurs et ses malheurs, ses souffrances et ses douleurs, ses peines et ses bonheurs, mais Il ne juge pas, il comprends sa fragilité et son désir, à cette assoiffée de justice et d'amour pur, son besoin et son désir de se donner, mais il a peur pour elle, peur qu'elle ne se trompe encore...
Alors il lui court après comme Dieu qui n'a de cesse que nous nous tournions vers Lui pour qu'Il puisse nous guider, nous orienter, qui Lui est Le Maître. Le Maître d’Amour par excellence.
Mais elle aussi le cherche, mais elle s’est trompé déjà si souvent…
Elle ne sait plus qui elle cherche, elle ne sait plus très bien non plus qui elle est, et ce qu’elle cherche vraiment et pourtant sous les erreurs, les incertitudes, et les malheurs, son cœur est blessé certes mais vivant et en attente…
Prêt à se donner totalement et sincèrement encore, à celui qui saura apprécier et qui n’aura pas peur de se donner dans un échange mutuel, librement consenti et où chacun s’épanouira librement.
2
« Comme un pommier parmi les arbres de la forêt,
mon bien aimé entre les garçon
A son ombre, selon mon désir, je me suis assise,
Et son fruit est doux à mon palais,
Il m’a fait entrer dans la maison du vin,
Et son étendard au-dessus de moi c’est l’amour,
Soutenez-moi avec des gâteaux de raisin,
Ranimez-moi avec des pommes,
Car je suis malade d’amour. »
3
« Sur ma couche, la nuit j’ai cherché celui que mon cœur aime ;
ai cherché et ne l’ai point trouvé
Je me lèverai donc et je circulerai dans la ville
les rues et sur les places,
Je chercherai celui que mon cœur aime,
Je l’ai cherché et ne l’ai point trouvé.
Les gardes m’ont rencontrée,
Ceux qui circulent dans la ville,
L’avez-vous vu celui que mon cœur aime ? »
Ode à l’amour
Tout est si fort et pourtant si subtile,
Si exultant et pourtant si secret.
Un regard perdu, distrait ?
Juste plongé dans l’indicible.
Délicatesse d’un geste, discret
Qui en douceur révèle
Du cœur de chaque étoile
Semée par l’Éternel
Un amour en mémoire,
Fait pour être propagé
Sourire qui flotte, allégresse !
Sur des lèvres sensuelles.
Corps léger qui vibre de vie et d’espoir,
Pieds agiles, aériens, qui mènent vers l’étreinte.
Et le cœur qui exulte,
D’un bonheur retenu.
L’amour ne se dit pas,
L’amour se vit.
L’amour croît,
Là où la liberté surgit.
Écrire des phrases poétiques,
Et dire la vie qui s’exprime
Vocation inscrite en notre cœur
Par Le Sublime Créateur
Un peu d’espoir et de douceur
On à tant besoin de bonheur
Et la sensualité est aussi,
Un don de l’Esprit.
MélÔdie
Mon corps, mon cœur, mon âmes sont a vous Maître, toujours et partout pour votre plaisir, où et comme vous l'entendez, le désirez Maître Homas
Je mendie vos baisers, espère vos caresses, vous implore de me prendre, vous supplie de me garder. Je veux vous offrir mon corps, mon cœur, mon âme, mes cris, mes larmes, mes jouissances. Ma tendresse, mon amour
Il me tarde d’être totalement à vous Maître Homas
Respectueusement mais non moins tendrement
Votre soumise MélÔdie
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