Astro : le Capricorne


 
La femme Capricorne montre toujours une certaine réserve dans ses rapports physiques, ce qui peut se traduire par de la timidité.

Elle n’est pas toujours très à l’aise avec le sujet, qu’elle considère de loin comme quelque chose dont il ne faut pas trop parler.

Du coup ses goûts et ses envies restent bien souvent enfouis au plus profond d’elle-même, emprisonnés et censurés par une vision un peu vieillotte des choses. Ses inhibitions et ses doutes sur elle-même sont nombreux, et la mettent souvent dans des situations inconfortables prise entre gène et envie.


La femme Capricorne met généralement longtemps à faire confiance, à s’ouvrir à l’autre et a y éprouver du plaisir. Il lui faut une certaine période d'apprentissage et de complicité avec un partenaire avant de pouvoir donner libre cours à ses envies.

Toute brusquerie, toute indélicatesse, tout manque de tact et de bienveillance peuvent provoquer chez elle un réflexe de refus irréversible.

La relation sexuelle idéale avec le Capricorne est longue, ils aiment faire durer les bons moments dans une pièce calme et sensuelle, lumières tamisées et ambiance câline, le Capricorne n'est pas un aventurier de l'amour, mais aime que ça dure longtemps, vous aimerez...

Vous souhaitez entamer une relation amoureuse avec une femme du signe du Capricorne ?

Sachez que la femme Capricorne est une amoureuse et une romantique, toutefois au premier abord elle ne vous le fera pas savoir, c'est à vous de le découvrir et d'agir en fonction. Sachez faire preuve de patience, la femme Capricorne ne se dévoile pas facilement !

Sachez également lui proposer des activités de bon goût, elles aiment le confort et le luxe, ce qui est bon à savoir pour un premier rendez-vous galant.

La femme Capricorne est intelligente et vous guidera sur le bon chemin pour réussir là où vous voulez.

Son intelligence va également lui servir à dominer un peu le couple, et correspond totalement aux hommes qui aiment relever des défis.

Sur la route

Je trouve le temps long.
Pour me détendre et détendre l'atmosphère, elle me parle de ce qu’elle aime ; la musique. Je sens très bien qu’elle a une pression et n’ose aller plus loin.
Je lui demande :
- C’est encore loin ?
- Non. On va le trouver.


L’habitacle de la voiture est surchauffé par la situation, pas une chaleur rayonnante.
La chaleur du contexte.
Je lui avais dit :
- Te souviens-tu de ce que tu dois faire ?
Je conduis avec son silence.
- Oui, je me souviens…
En murmurant ses mots, une audace lui vient ; elle pose sa main sur ma cuisse.
Un frisson, je vibre d’elle, de cette main qui fait trembler mes sens.

Je conduis, stoïque extérieurement.
Elle se met à caresser ma cuisse en remontant progressivement vers mon entrejambe.
Je la regarde du coin de l’œil.
Elle continue de me parler de la musique, des vibrations, des résonances…
Sa main me déconcentre.
Comment conduire dans de telles conditions de haute pression ?
C'est un véritable étendard dans ton pantalon !
J’attends ses mots et ne fait rien pour l’aider, juste l’envie d'accélérer… moment où !
Elle s'exclame :
- Ça y est ! Un chemin !
Je tourne à l’endroit indiqué puis arrête la voiture dans ce petit chemin détrempé par la fonte de la neige.
Sa main parvient jusqu'à mon sexe, qui est dur et gonflé sous l'étoffe de mon pantalon.
- Je vous veux dans ma bouche !
Enfin, elle le dit !
Une fois de plus, la magie agit, tout tournoi autour de moi, le temps suspendu à son action, la terre arrête de tourner et la vie explose dans mon cœur… Dans mon sexe.
L'air ambiant tropical de la voiture, chaud et humide, attise tous mes sens.
Elle se jette sur moi, m'enlaçant dans une douce étreinte.
Se presse contre moi. Je savoure tout en douceur son étreinte et m'imprègne de ses odeurs…
Je ferme les yeux la laisse faire.
Le combat avec la ceinture, les boutons du jean et la bosse doit lui apparaitre.
Je ne sens plus que le faible tissu d’un caleçon qui doit trembler sous la pression de ma verge.
Et l'enivrante caresse de sa main qui déplace la toile d’où surgit mon membre.
Je vibre de cette main qui m'alanguit dans des gestes lents et mesurés…

Je me déploie sous ses caresses.
Soulève mes fesses pour que mes habits glissent.
Puis je m'abandonne à elle, la tête contre la vitre les yeux clos.
Assis, mon corps dévoilé dans une posture de voyageur attendant quelque chose : la caresse d'une passagère…


Je l’imagine, contempler mon sexe qui l'attire irrésistiblement. Ce sexe, que de beauté sous son regard avide ! Avec les veines, comme une icône rougissante. Elle sait qu'il se dresse ainsi pour elle, qu'il se gonfle démesurément pour la séduire, qu'il se durcit pour la fasciner et qu'il se fait de braise pour l'attraper.
C’est ainsi… un sexe d'homme à tout, dans sa forme, son aspect, sa couleur, son odeur, pour captiver une femme…

Je sens sa main qui du bout des doigts me caresser. Me manipule cette caresse divine avec une infinie délicatesse, comme s'il s'agit d'un petit animal fragile.

Mon désir commence par un liquide translucide, il brille d’un éclat d'une eau cristalline. Une larme d’envie perle sur mon gland au front lisse et rond comme une boule de billard. Une goutte hypnotique s'offre à elle. Elle ne peut s'empêcher d'y poser ses lèvres puis sa langue pour goûter cette perle nacrée…

Alors que dehors le temps passe, ici il est arrêté.
Elle s'attarde sur moi dans une dégustation des plus surréaliste qu'il soit. Un onguent de douceur s'échappe de mon sexe et envahit sa bouche. Une langueur océane qui vient à elle en effluves marins avec ses embruns iodés, ses fruits de la mer et tout mon sel de l'océan.
Le contact de sa bouche, de ses lèvres… les sensations de ses actes, voluptueux créés en moi un vertige, une ivresse et je ne peux contenir plus longtemps mon ardeur instinctive à aller jusqu'au bout de mon voyage, je m’enfonce dans les profondeurs abyssales de sa bouche.

J'ai ce désir d'aller encore plus loin. Je suis devenu d'un coup un tsunami… de plaisir qui gagne tout mon être. Soudain, mon sexe nourricier décharge en une poussée vertigineuse. Tout envahi. Tout s'infiltre en une tumultueuse liquéfaction. Tout se nappe sur la grève de notre amour. Mon nectar suprême dans sa bouche. Liquide séminal, liquide sublissime, eau de la vie…
Une coulée envahit sa gorge. Le liquide visqueux descend lentement dans son tube digestif. Elle a en elle cette part infime qu’elle va garder, une petite part bien physique qui s'incruste au plus profond d’elle.



Le sablier du temps s'est écoulé, il est temps de repartir.

Essayer d'attraper ta langue avec ma bouche...

Ton petit jeu de mains baladeuses m’a plu, ça m’a rendu chaud comme la braise… Tout ce que tu fais me rend chaud comme la braise… Quand tu jettes de l’argile au plafond… Toi la chienne, toi la mégère rouge et brûlante, toi la ravissante, ravissante femme… Tu as fait naître de nouveaux poèmes, de nouveaux espoirs, une joie nouvelle et de nouveaux tours chez un vieux chien, je t’aime, j’aime les poils de ta chatte que j’ai senti avec mes doigts, l’intérieur de ta chatte, mouillé, chaud, que j’ai senti avec mes doigts ; toi, debout contre le réfrigérateur — ton réfrigérateur est si merveilleux — tes cheveux lâchés, toi, là, sauvage, l’oiseau sauvage, la chose sauvage qu’il y a chez toi, brûlante, obscène, miraculeuse… Te tordre le cou, essayer d’attraper ta langue avec ma bouche, avec ma langue…

Nous étions à Burbank et j’étais amoureux, d’un amour d’outremer, ma bon dieu de maudite déesse, mon allumeuse, ma chienne, mon mon mon mon con de Paradis entouré de poils, battant, respirant, je t’aime… Et j’aime ton réfrigérateur — et quand on s’attrapait et qu’on luttait corps à corps, cette tête sculptée qui nous regardait avec son petit sourire lyrique, cynique, amoureux, ardent…
Je te veux,
Je te veux,
Je te veux TOI,
TOI TOI TOI TOI TOI TOI !


Scénario entre le Maître et sa soumise…

Dans le noir, sans savoir ce que son Maître lui réserve… Sensuelle, les sens en éveil, envie de sentir ses mains sur elle.
Elle attend avec délice, entendant sa présence près d’elle. Des souvenirs en elle de son dernier plaisir.


Il lui écarte les lèvres pour mieux la voir, elle se sent observée soumise à son regard.
Lui tire le clitoris, le caresse, la doigte… puis lui demande de s’asseoir sur le lit…

Il lui caresse les seins en lui demandant d’écarter plus ses jambes… Pour qu’il la voit mieux, mouiller de plaisir pour lui… il veut voir la chienne que je suis...


Il lui tire les tétons, lui caresse le ventre, la possède avec ses doigts, il la regarde mais il ne veut pas qu’elle bouge la tête… toujours en arrière. Bien offerte à ses besoins.

Lui demande de se lever pour s’asseoir sur la chaise bien soumise… jambes écartées les seins offerts, tête en arrière… avec sa cravache il lui caresse le clitoris, elle se laisse faire comme une belle soumise... lui caresse les tétons avec… Il lui parle, lui disant que c’est une très belle chienne les jambes écartées comme ça face à son maître.

Il la frappe sur son clitoris, doucement pour lui montrer qu’il la domine… lui écarte les lèvres… Elle gémit… Il continue de lui parler crûment… lui enfonce le bout de la cravache en elle… elle mouille d’envie… Craintive également de ne pas savoir ce que son Maître lui réserve.

Il lui met son sexe dans sa bouche en passant la cravache sur sa chatte bien offerte… et revient par petits coups… plaisir, caresses, domination…


Il lui met un god dans sa chatte en douceur, lui disant que ses orifices sont à lui… Il joue avec elle, lui laisse dedans pour revenir lui mettre son sexe dans la bouche… continuant de la caresser …

Elise

La poule et le cochon

Quelle est la différence entre « concerné » et « impliqué » ?

La réponse est très simple :
Quand on fait une omelette aux lardons, cela suppose qu’il y a eu une poule pour pondre les œufs et un cochon pour qu’on puisse faire du lard.


Pour avoir des œufs, il faut une poule. (Et implique aussi : On ne fait pas d’omelette sans casser des œufs).
Pour avoir des lardons, il faut un cochon. (Lard coupé en petits dés).


Une fois l’omelette achevée les modalités de « participation » de ces deux animaux  et en partant de  leurs sorts respectifs, ils sont bien distincts :

La poule est concernée par le projet… en ceci que ses œufs ont contribué activement à son succès, y prenant même une très large part (les œufs sont impliqués... eux ^^).

Le cochon, quant à lui, s’est retrouvé complètement impliqué (ou cochon à qui il manque un flan...).


Et vous, êtes vous concernés ou impliqués dans la soumission, la domination ?
Pas si simple qu'on peut le croire au premier abord.
Vos responsabilités !

La fable du moineau

Je ne sais quelle est l'origine de cette histoire. Je l'ai entendu raconter par Terence Hill dans un western avec Henry Fonda, qui s'appelle "Mon nom est personne".


Le petit moineau.

Un petit oiseau, bien au chaud au début du printemps, dans son nid, attend tout en piaillant, le retour de sa maman oiseau pour avoir la becquetée. 

Il est là, tout heureux et piaille si fort et si bien qu'il finit par tomber du nid. Pauvre petit oiseau, il a froid maintenant et n'a plus du tout envie de piailler gaiement. 

Une vache, passant par là, voit ce petit oiseau tout frissonnant et prend pitié de lui. Elle se positionne bien au-dessus de lui et le recouvre délicatement d'une belle grosse bouse bien chaude. 

Le petit oiseau sentant de nouveau la chaleur, reprend sa joie de vivre et piaille de nouveau, tant et si bien, que ses cris excitent les oreilles d'un renard. 

Ce pauvre renard, que l'hiver a laissé bien affamé. Et que voit-il ? 
Un petit oiseau, certes pas très dodu mais qui permettrait de dissiper un peu sa faim, qui piaille tout gaiement dans une belle bouse de vache. Le renard, tant affamé qu'il est, prend le petit oiseau, avec un peu de dégoût au départ il est vrai, puis délicatement, sans lui faire le moindre mal, se charge de le débarrasser de toute cette bouse malodorante et répugnante. 
Une fois tout propre, le renard l'avale sans regret.

Cette histoire nous enseigne une moralité pleine de bon sens :

1er Ce n'est pas parce qu'on vous met dans la merde qu'on vous veut forcément du mal.
2e Ce n'est pas parce qu'on vous sort de la merde qu'on vous veut forcément du bien.
3e Quand vous êtes dans la merde, fermez-la !!!

La Manipulation et la Persuasion !

 « Il n’est guère que deux façons efficaces d’obtenir de quelqu’un qu’il fasse ce qu’on voudrait le voir faire : l’exercice du pouvoir (ou des rapports de force) et la manipulation. »*

Et la persuasion ?
Le fait d’utiliser l’une ou l’autre de ces techniques peut avoir des effets totalement différents vis à vis de votre interlocuteur. Il est donc important d’en connaître les différences.


La manipulation : C’est le fait d’obtenir de votre soumise quelque chose pour votre profit personnel.

La persuasion : C’est le fait d’obtenir, toujours de votre soumise, quelque chose pour votre bénéfice mutuel.

Si les deux peuvent revêtir de nombreux masques.
Manipuler, c'est amener quelqu'un à penser ou à agir de la façon dont on souhaite qu'il le fasse et ce de façon généralement cachée. Il ne faut pas confondre manipulation et persuasion.
La manipulation d'une personne peut être excessivement dommageable. Il est donc précieux de pouvoir s’en rendre compte le plus tôt possible et de disposer des outils utiles pour y parer. »

Le Petit Robert définit le verbe manipuler comme étant :
« Influencer habilement (un groupe ou un individu) pour le faire penser et agir comme on le souhaite ».
Quelle que soit la forme que prend la manipulation (flatterie, pleurs, incitation, menace, bouderie, séduction, etc.), elle comporte toujours une série d’attitudes et de propos qui visent à faire faire à l’autre certaines choses qu’il ne souhaite pas, et ce, si possible, sans qu’il s’en rende compte. La manipulation est donc une manœuvre consciente ou inconsciente qui vise à dominer une autre personne pour en retirer certains avantages. Elle implique un rapport de pouvoir de dominant à dominé et un rapport d’exploitation. C’est donc une relation coercitive et intéressée qui passe par des actes et des comportements.

Personne n’est à l’abri de subir des manigances manipulatrices et chacun peut, à certains moments, utiliser des paroles, des attitudes ou des gestes visant à manipuler autrui. Ceci étant dit, il est très légitime de tenter d’obtenir ce que l’on souhaite et de répondre à ses besoins, mais cette recherche de satisfaction ne doit pas se faire au détriment de l’autre, car on risque de glisser vers l’irrespect et la violence psychologique et morale. Lorsque le comportement manipulateur est dénoncé par la personne qui le subit et lorsqu’il est reconnu par l’auteur de la manipulation; celui-ci peut s’excuser de son attitude et saisir l’occasion pour exprimer ouvertement ce qu’il désire. Cela peut s’avérer une expérience blessante et décevante, mais elle peut, à la limite, permettre de clarifier les besoins de chacun. Toutefois, précisons qu’il y a une grande différence entre utiliser à l’occasion certaines ruses pour obtenir quelque chose et être un manipulateur, qui relève de modus operandi !

Ce qui devient particulièrement pathologique, destructeur et inadmissible c’est lorsque la manipulation est répétitive, qu’elle soit niée ou devienne une façon d’être en relation plutôt que de demeurer une astuce de « dernier recours » ou un accident de parcours. Pour le manipulateur, les manœuvres perverses sont devenues une façon d’être et un système de défense souvent inconscient.

Je suis pour la persuasion, pourtant n'ai je pas été manipulateur ?
Voici deux formes de manipulation.
Martine.
Nathalie.

* C’est ce qu’affirment Robert-Vincent Joule et Jean-Léon Beauvois dans leur livre « Le petit traité de manipulation à l’usage des honnêtes gens ».

Martine

Martine, Martine, Martine, Martine...


Qui est-elle cette femme qui a réussi à me perdre ?

J'aime lorsque je rencontre une femme aller plus loin, pousser et découvrir ce qui se cache derrière nos masques.
Rien de malsain (à mes yeux). Le jeu c'est retourné contre moi.

Martine a réussi à ce que lorsque je me rasais je voyais une personne qui m’était étrange.
C'est bien moi dans le miroir, mon regard, ma peau qui se tend sous le rasoir.
Je m'interroge, pourquoi lorsque je suis avec elle je deviens une bête ?

Pourquoi j'aime voir les marques de ma cravache sur son corps ?
Pourquoi j'aime la fouetter ?
Pourquoi ses larmes sont un plaisir pour moi ?
Pourquoi, pourquoi ?
Les questions sont nombreuses et n'ont qu'une réponse au début une érection et une soif incontrôlée d'elle.

Martine jouait avec moi, de moi...

J'avais à chaque fois que je la voyais partir dans le rapport de force contre envie de la frapper, de la gifler.
La colère montait irrémédiablement et l'envie de la remettre à sa place.
Et elle ! Martine savait très bien qu'elle gagnerait, savait très bien que je craquerais malgré ma résistance.
Posséder une femme, la voir prendre son pied sous vos actes, sous vos coups, sous vos...

L'escalade est trop forte pour l'homme de 22 ans que j'étais.

J'ai fui, quitté le pays pendant 3 mois sans donner aucune nouvelle à personne.
Je me suis caché dans un autre pays.

À mon retour Martine m'attendait sans m'attendre.
La magie était rompue.
Elle avait déménagé loin, j'y allais de temps en temps, simples rapports vanille...
Sans plus aucun jeu...
Et le plus amusant, je crois que j’étais le plus malheureux des deux ^^.

L'existence m'offrira d'autres challenges...