Un jour…



Un jour… nous avons décidé de jouer.

Madame doit se laisser bander les yeux et s'abandonner aveuglément. Ainsi, je peux laisser libre cours à mon imagination. Elle doit se livrer totalement et en confiance…

Le jeu commence. Docilement, Madame se laisse faire. Je lui pose un bandeau sur les yeux. Madame, encore certaines craintes, je le vois dans sa respiration.

Elle se retrouve dans le noir total.

Je rêve de ton cul

Je rêve de ton cul, c'est comme ça
Moi qui ne rêvais plus, plus trop le goût à ça
Je rêve de ton cul tous les soirs
Je rêve de la rue que j'emprunte pour venir le voir
Je rêve de ton cul nuit et jour
Il est mon salut, ma plus belle histoire d'amour
Je rêve de ton cul et je n'y peux rien
Je remets mes rêves et toute ma vie au creux de tes reins
Je rêve de ton cul, je l'adore
C'est la plus belle vue, elle vaut son pesant d'or
Je rêve de ton cul, tu es si belle
C'est Dieu qui t'a voulue et moi, je remercie le ciel
Je rêve de ton cul sans arrêt
Mon coeur est à nu, jusqu'où tout ça va-t-il aller ?
Je rêve de ton cul. Dieu que j'aime ça
Comme un ange venu, tu es venue t'asseoir sur moi.


 Je Rêve De Ton Cul de Marc Lavoine
Ce titre provient de l'album : Volume 10
Date de sortie : 31/08/2009 - Label : universal 


Prends la plume

Moi :  L’écoute, la compréhension et la confiance.
J’écoute et j’entends ce que tu dis. Il ne suffit pas d’écouter.
Je comprends et j’assimile ce que tu dis. Cela ne veut pas dire que je sois d’accord je connais ton point de vue et j’ai le droit de ne pas être d’accord.
J’ai confiance. Si pas de confiance en l’autre il est impossible d’avancer dans une relation même épistolaire. Le manque de confiance ou de « croyance » et la magie va disparaitre, l’envie aussi…
J’ajoute en plus de comprendre ne pas juger. Cela ne veut pas dire ne pas avoir d’’avis.

Elle : Écoute, compréhension et confiance, dis-tu ! C’est la première fois pour moi que s’engage une relation aussi « prometteuse » et j’en suis si bouleversée, pleine d’espoirs. Sur Internet, j'ai découvert un monde fait de tromperie plus immense que je ne l'imaginais. Mais, cela se sent très vite. Un ou deux mails et il est facile de se rendre compte à qui l'on a affaire : homme, femme, mythomane ou autre. Ce qui semble bien loin d’être ton cas.

En tout cas, après t’avoir lu, je suis à présent certaine de ce que j’ai cru percevoir en toi. Tu es celui que je recherche désespérément depuis si longtemps, mais tellement exigeant (j’ai peur de ne pas pouvoir « suivre la cadence » dans mon quotidien). Je n’ai jamais rencontré jusqu’alors une personne autant à l’écoute et avec une notion de plaisir partagé qui passe avant tout. Mis à part mon mari, mais malheureusement, j’aurais aimé qu’il soit aussi vicieux (au bon sens du terme) que tu sembles l’être, XXX chéri (me permets-tu ce « chéri » ?).

Moi : Je suis exigeant ? Oui tu as raison je le suis surtout avec moi. Je suis très très tolérant à côté de cela.

Chéri reflète surement quelque chose pour toi.
Je souhaite que tu me trouves un autre mot, appellation. Je t’explique ce qu’il reflète pour moi un mot passe partout utilisable pour tous… Je ne veux pas être « tous ». Ma tolérance se fissure ^^.

Elle : Depuis bien longtemps, mon mari a eu tendance à me délaisser un peu trop à mon goût côté sexe. C'est sans doute en grande partie pour cela que j'ai eu plusieurs amants.
De mon côté, j’espère que je serais pour toi, au-delà de moments Soumise, l’amante que tu espères. La salope, la putain que tu espères peut-être aussi. J’espère que ce mot de putain n’est pas trop fort à tes yeux. Il a le don de me broyer le cœur, le ventre de honte. Et pourtant…

Moi : Je comprends ma femme n’a plus de libido depuis 16 ans. Elle est devenue mère oubliant la femme et la maitresse.
J’ai eu beaucoup de mal…  j’ai essayé de lui écrire. De lui faire des livres avec des histoires érotiques, des jeux, des… je crois avoir utilisé tous mes moyens pour éveiller, réveiller sa libido. Doucement je me suis détaché d’elle, mes premières relations épistolaires, puis je suis passé à l’acte… des maitresses, principalement le bondage. Après la « soumission » c’est une spirale où tu peux vite te perdre.

Une drogue ! La relation épistolaire me permet de canaliser une partie de mon énergie. J’ai aussi besoin de vivre mes « réflexions », mes envies, mes fantasmes… Je trouve en générale ce qui me manque. Il me faut l’idée, la conception et la réalisation.

Si « putain » te plait ! Je peux l’utiliser ainsi que salope qui pour moi est plus percutant.

Elle :  À te lire, j’ai la sensation que mon plaisir est important à tes yeux. Sache que j’espère bien de mon côté t’apporter beaucoup d’excitation et d’envie de me conserver dans tes amies.
En tout cas, outre mes interrogations dans mes mails, n’hésite pas à réagir à tout ce que tu souhaiteras.

Effectivement, tu es très bon à l’écrit et très certainement bon dans la mise en musique d’une relation comme la nôtre. Ton mail est tout autant captivant et prometteur. Il me laisse penser que tu sauras me procurer beaucoup de plaisir par tes mots. Je suis flattée et surtout ravie que tu prennes la peine de chercher à me plaire.



A suivre





Prends la plume 2

Moi : J’aime ses caresses épistolaires, j’aime les visualiser… et aussi les vivre.
Je ne fais pas de différence entre c’est deux mondes.

Ce que j’écris à un moment je le mettrai en pratique. Sûrement pas aussi beau que dans mes « écrits ».  Je passe par l’autre pour trouver le mien.

Elle : Mon orgueil en prend un coup car, tout ce que tu me dis, le désir que tu sembles vouloir déployer pour me séduire (ton récit Le Bus) me prouve que mes efforts pour rendre notre correspondance belle ne sont pas vains. Efforts bien agréables, il est vrai. Et puis, j’espère bien ainsi compter pour toi, bien que notre relation soit juste naissante. Tu as pris ton temps pour m’envoyer un mail qui finalement me plait infiniment et, par ta faute, me voilà obligée de garder la main gauche entre les cuisses. Voilà qui ferait jaser si l’on me voyait ainsi, dans cette posture indécente. Tu devrais en être désolé pour moi… Et oui, je me masturbe de la main gauche en t’écrivant. Tu es ma motivation.

Moi : Désolé pour l’orgueil elle va s’en remettre ^^.

Pour le « Bus » je me suis servi de ce que je ressentais chez toi. La base est vraie comme expliqué. J’en suis toujours étonné cela ne fait pas partie de mes fantasme caresser les femmes dans les lieux publique.

Caresses toi pour moi, caresses toi sur mes écrits, fais toi jouir sur la correspondance d’un inconnu. Ainsi tu te sens plus Putain ? Savoir que je suis un voyeur épistolaire ?Caresses toi pour moi, caresses toi sur mes écrits, fais toi jouir sur la correspondance d’un inconnu. Ainsi tu te sens plus Putain ? Savoir que je suis un voyeur épistolaire ?

Elle :  Merci pour la franchise de tes propos également. Je ne sais pas vraiment comment débuter tout cela, mais je vais essayer.
J’ai vraiment beaucoup apprécié que tu répondes à toutes mes interrogations (ou presque, méchant va). J’en ferais de même et j’espère que nous continuerons à nous répondre sur tous les sujets.

Moi : Je suis direct.
Pour les questions, j’ai dû en rater reposes les.
Recommences d’une autre façon.

Elle : Pardonne-moi de prendre mon temps pour te répondre ! Je commence ce mail ce soir, mardi et je me rends compte que j’ai une multitude de choses à te raconter. Je risque fort de ne pouvoir t’envoyer ce mail avant jeudi ou vendredi soir.
En attendant, je te réponds pleine d’enthousiasme. Je craignais de ne pouvoir le faire ce soir, mais par chance, dès la fin du dîner, le champ est libre, mes enfants sont partis et je peux accéder à l’ordinateur familial et t’écrire librement (pour info, c’est souvent plus facile le week-end).

Tu as donc une expérience monumentale en la matière, en ces relations épistolaires qui me tentent tant.

Moi :  J’ai écrit dans un journal pour échanger et une femme m’a répondu. Nous avons échangé pendant un an puis elle a eu peur de l’escalade (plié de rire elle était à Nouméa le temps que j’arrive...) Un jour un appel ; son mari au bout du fil. Elle a craqué et tout raconté à son mari. Cet homme m’a dit merci car il a découvert sa femme sous un jour différent.
Moi par contre je fini la queue entre les jambes ^^.

Après…
Avec une autre annonce, une femme voulait être attachée. Après des échanges avec elle et son compagnon je suis allé chez eux. J’ai attaché la femme il l’a possédé devant moi, je n’ai rien fait… Pas de fellation, pas de sodomie… Même pas masturbé, je ne suis pas voyeur. J’avais promis à cette femme de ne pas la pénétrer. Je respecte mes engagements.

Elle : Que tu me proposes d’échanger ensemble me comble de joie, car il laisse la porte ouverte à toutes nos folies. Aussi, j’espère sincèrement te faire frissonner dans nos jardins secrets aussi souvent que possible… et longtemps. J’apprécie ton mail riche qui a su émouvoir mon ventre devant tant de promesses. Et tout autant le récit. Oui, l’avenir semble s’annoncer à nous plein de délices pervers. Pour être au diapason, dans ce mail et les suivants, il me semble naturel d’apprendre à bien se connaître et à s’exciter par des échanges ayant un minimum de densité. Cela me semble inconcevable autrement.

Moi : Cela me semble logique.
Me masturber sur tes mots ? Surement Passy !
Pas encore ^^.

Prends la plume 3


Elle : Je veux aussi te dire que ce n’est pas tant la fréquence de nos échanges qui m’importe (du moins, à moi), mais la qualité de ceux-ci.

Je préfère, et de beaucoup, de beaux textes, de beaux mails, bien rédigés et remplis de détails, à ceux complétés à la sauvette. Et ce que je viens de recevoir de toi flatte mes attentes. Je vais tenter d'être à ta hauteur. Le but étant, un jour, peut-être, que tu te masturbes en me lisant, et que tu jouisses rien qu'à l'évocation des images que je susciterai en toi (et vice-versa…). Pour cela, nous apprendrons à nous connaître, lentement, graduellement… Qu’en dis-tu ?

En tout cas, je vais faire tout mon possible au travers de notre correspondance pour ne pas te décevoir… car j’ai très envie de tout te dire, oui, sans tabou, ni retenue et de me sentir putain grâce à toi, davantage que Soumise…

Moi : Merci pour ce vote de confiance.
Pour ton style, tes goûts qui suis-je pour juger ? Laisses toi aller !
J’aime les mots les décortiquer, les comprendre, les analyser les… posséder.

Elle : D’accord, je vais me laisser aller. Je vais tenter d’être à la hauteur, car la barre est haute, tant tu me sembles être un homme cérébral, cultivé également et visiblement exigeant. Je te promets de faire au mieux, même si ce n’est pas l’essentiel.

Moi :  Fais, abandonnes toi sans réfléchir.

Elle : Mais, ce ne sera pas toujours facile. Je veux juste que tu saches que, en ce qui me concerne, si je ne te réponds pas du jour au lendemain à chaque fois, ne t’en inquiètes pas. La vie, le quotidien et le travail ne nous laissent pas toujours le choix. Et je sais bien qu’il en sera de même pour toi. Et puis, rien ne presse, il faut que notre relation soit synonyme de plaisir et non de contrainte…

Moi : « Hi hi » une image me vient oui tu es putain dans le contexte du mot si dessus.
Sans rigoler je comprends et accepte !

J’aime aussi l’idée, tu lis mes messages et la journée tu imagines, tu te demandes quoi répondre. Pour me donner des envies, pour répondre aux tiennes.
Des images qui te donnent le désir de te masturber là, n’importe où que cette tension s’efface pour revenir encore plus sournoise… Te faire prendre, posséder, comme une chienne en chaleur. Que mes mots te donnent envies de sexe, de pénétrations, de… t’offrir. OFFRES toi mets-toi à nue.

Elle : En ce moment, je t’écris toujours avec une main entre les cuisses et c’est si agréable. Deux doigts tout au fond de ma grotte …

Moi : Laisse-moi un doigt !

Elle : Oui, tu écris si bien. Tu peaufines déjà si bien tes mots que j’ai un peu honte des miens, loin de soutenir la comparaison. Mais, après tout, le but de notre rencontre n’est pas un concours de lettre. J’espère quand même de ton côté que mes écrits sont à ton goût. Cela n’en renforcerait que davantage notre pouvoir de séduction mutuel.

Moi : J’aime ce que je lis.

Oui j’apprécie, le contexte, l’idée et ce que cela implique.
Je sais que ces notre imaginaire qui fait tout le boulot. C’est lui qui nous donne des ressentis, des sensations, les caresses… Il va les chercher dans notre vécu, dans nos fragilités, nos besoins et remplit les trous de l’histoire pour la rendre à notre portée. C’est la magie du texte et de notre interprétation.

Elle : En guise d’écriture, je ne recherche pas un poète, je n’aime pas lire de la poésie. Un écrivain d’expérience ? Je n’en veux pas non plus car il serait certainement incapable d’écrire des choses vraiment « horribles » et excitantes.
Je prends cela comme un compliment

Mon sentiment est qu’imagination et fantasmes ne te font pas défaut et je vais m’efforcer d’être à la hauteur. Je suis si heureuse que tu sois partant pour que l’on corresponde ensemble. Et pour que cette correspondance soit « belle », j’espère que nous serons tous deux très vicieux et très pervers au bon sens du terme bien sûr. Tu verras vite que je suis naturellement généreuse …

Moi :  Je m’adapte facilement à ce que je ressens, lis... J’essaye d’en sortir une histoire qui soit proche de « ma » perception de toi.

Elle : Et cet homme sera-t-il capable de me dire des choses sales ? J’espère que je le ferais bander à en avoir mal.

Moi : Je sais gérer ma fougue et je sais durer longtemps…
A 20 ans j’ai eu une maitresse de 60 ans. Je me suis demandé comment j’en étais arrivé là ! Pourquoi j’ai accepté de l’honoré ? Le rapport fut très vanille rien de comment dire, rien de sensationnel. Je n’ai jamais eu la réponse pour mon acte et maintenant avec mon évolution je me dis que si elle a apprécié, si j’ai pu être un rayon de soleil dans son existence c’est une des plus belles choses que j’ai pu faire.
J’ai des fois un côté oblatif.

Elle : Mon cul risque-t-il d’en voir de toutes les couleurs ?

Moi :  Je ne sais…

J’adore m’enfoncer dans un cul le voir s’ouvrir lorsque ma bite pousse.
Une des plus belles images pour moi c’est de prendre en levrette une femme est de voir son cul transpercé par mon sexe.
De me voir la posséder ainsi, mon sexe entrer et sortir.
Entendre la belle gémir, gendre voir dire des mots ; m’accompagner de ses paroles douce ou vulgaire…
L’idée est très érotique le faire… c’est une merveille.

Elle : Plus sérieusement, au travers de ton mail, je commence à me rendre compte qu’en plus des qualités déjà évoquées, effectivement tu parais très cochon. Et cela m’enchante. Je compte bien être ta putain et ta salope… Dans l’ordre que tu souhaiteras…

Moi : Je préfère salope.

Précédent.
A suivre

Prends la plume 4


Moi : Sois naturelle.
Pour l’imagination cela va dépendre de toi. Dit autrement mon imagination puisera dans ce que tu es, tes doutes, tes plaisirs, tes envies. Tu es riche, tu as des potentiels je m’en servirai.

Elle : Par ces quelques mots, tu m’as rendu folle d’espoir et d’envie. Un homme à l’écoute, que rien ne choque, qui visiblement s’adaptera à mes limites. Vraiment ? En tout cas, mon imagination, je te l’offre. Mais pas seulement ! Mes envies et fantasmes également !

Oui, je veux être ta putain, mais cela me plairait infiniment aussi d’être ta complice, ton amie et ta confidente, comme j’espère tu le seras pour moi en retour. Voilà une relation dont je rêve. Se donner un plaisir immense et tout se dire. Et pour cela, je crois que dans une correspondance telle que la nôtre, il est important de connaître nos fantasmes et envies, le ressenti de l'autre et ce que cela lui inspire. Il est aussi très important de répondre à toutes les questions pour éviter toute frustration. Je crois que c'est important pour savoir où l'on va et pour durer. Alors, allons-y ! Le fait que je me dévoile t’incitera à en faire de même. Je vais essayer de me décrire physiquement… Et intimement…

Une confession ? Je me rends compte au fond de moi-même que, au-delà du plaisir que je ressens dans mon ventre, cela me fait du bien de pouvoir enfin parler à quelqu’un de tout ce qui est enfoui au plus profond de moi. Et tant mieux si je te « bouscule » et si je t’inspire ! Pour cela, je vais t’écrire sans retenue, sans tabou, sans rien, utiliser tous les mots (même les plus obscènes, selon les contextes) sans craindre de te choquer, de devenir des amants virtuels, de véritables complices, de nous révéler des choses que nous ne dirions jamais à qui que ce soit dans la vie réelle.

Moi : Fais… Abandonnes toi ! Offres toi ! Sois putain, salope… Lâches toi !
Mes secrets, j’en soulevé le voile lors de mes premières réponses.

Elle : Soi découvrir les grandes satisfactions que cela peut engendrer. Avec toi, mon chéri… Oui, car je suis certaine que cela peut engendrer énormément d’excitation. Et, comme j’adore me masturber…

Moi : J’essayerai de te contenter !
De te donner le besoin en pensant à moi d’être possédée, de t’abandonnée.

Elle : L’important dans notre relation est que tu sois un délicieux cochon, un amant vicieux.  Et, te lire est déjà et sera pour moi de façon certaine une grande source de jouissance…

Moi : Amant de papier, cochon sans parfum.

Elle : J’espère une relation certes virtuelle, mais durable, pour explorer mes pulsions les plus folles (ainsi que les tiennes), relation qui ne s’est encore jamais concrétisée malheureusement.
Pour ma vie réelle, ……
 J’ai un amant qui ne se prive pas de me prendre dès qu’il me voit. Et j’aimerais bien trouver un jeune mâle plein de fougue ou un très vieil amant. Mais, que ce soit à mon mari, à mon amant ou à cet hypothétique jeune ou vieil amant, je serais incapable de dire tout ce que j’ai commencé à te dévoiler et surtout tout ce qui est à venir. Avec toi, je sais que je vais oser te parler de tous mes secrets, envies et fantasmes, grâce à l’anonymat d’Internet.  Le virtuel, l'écriture donne un caractère insaisissable, intemporel à la relation la rendant d'autant plus excitante, en tout cas, pour moi, tout aussi excitante qu’une relation physique.

Imaginer des scénarios pervers de nos folies et les écrire à ton intention me procureront un intense plaisir. J’ai l’impression que toi aussi tu aimeras m’en écrire, j’espère… Nous nous compléterons de façon très intime, j’en suis sûr… Personne, ni les membres de notre famille, ni nos amis les plus chers, ni même nos amoureux(ses) ne nous connaîtront comme nous le ferons. J’en éprouverais en tout cas une vive jouissance. Oui, nos échanges, nos folies, voilà une expérience que je voudrais vivre à fond et si possible dans la durée. Et, avec toi, toi, toi, je l’espère (tu vois, je suis exigeante)…


Précédent.
A suivre.

Prends la plume 5

Moi : Le fouet, le fouet, le fouet et j’adore.

Elle : Ai-je décelé une once d’humour dans ces mots ? Es-tu doté d’un trait que j’adore chez un homme : l’humour. Je me trompe ? Sachant cela, je pense que je ne me priverais pas de te taquiner, voire de me moquer gentiment. J’ai une petite tendance à me moquer pour la moindre peccadille des hommes.

Je me demande si cela ne va pas t’inciter à me corriger. Si tu l’oses… Au fond de moi, j’espère bien que oui.

Moi : Virtuellement comme tu l’écris.

Elle : Pour tout t’avouer, mon corps aime avoir mal et souffrir. Aussi, compte sur moi pour te « provoquer » dans nos écrits. Je suis très taquine, volontairement un peu provocante, un peu insolente même si besoin est. Et je suis ravie de savoir que tu me fouetteras. J’espère quand même, qu’utiliser une ceinture ou un martinet ne te rebutera pas pour me battre. Oui, car j’aime être cinglée par ces instruments. Et pas seulement sur les fesses. Pour le fouet, je n’y ai jamais gouté et c’est peut-être dur à supporter. Mais, j’espère bien être marquée avec un jour.

Moi : Je m’en sers des fois.

Elle : Je vais m’efforcer de te donner envie de m’aimer de cette manière aussi, dans lesquels tu pourras faire preuve de « violence » si le cœur t’en dit. Sache que je préfère être fouettée sur tout mon corps. J’aime trop cela, même si c’est douloureux… Oui, j’ai envie que tu me fasses mal pour en jouir…  Oui, j’aime cela. Il te faudra un martinet, une bonne ceinture  ou un fouet et je te le montrerai bien mon cul, tout comme mon dos, mes cuisses, mes nichons, mon ventre et ma chatte. Oui, fouette-moi toute (pas à en être blessée, mais à en être marquée)… En tout cas, j’ai envie de bonnes histoires. Que j’en sois la seule héroïne ou pas n’est pas le plus important. Je suivrais tes humeurs.

Moi : Pour cela le réel est plus amusant. Je peux l’écrire. Je préfère le faire.

Elle : Je suis certaine que tu es capable de combler une femme qui te demande de la brutaliser, mais aussi de la câliner.

Moi : Oui et c’est important.

Elle : Tu sais, pour tout t’avouer, avec un homme, j’aime l'alternance des moments tendres avec des mots doux et les moments qui le sont moins avec un ton très, très grossier. A condition que je sache que la personne me respecte.

Moi : Je respecte toujours une femme. La dominer ne veux pas dire que je ne la respecte pas. C’est un moment M où je suis dominant une fois cette veste enlevée je redeviens Lionel.

Elle : Et, ce qui me plaît en toi, c’est que tu es une personne très respectueuse et sensible à sa partenaire, à ses désirs. Alors oui, tu m’as plus que convaincue de m’efforcer d’être la salope et la pute (que tu veux que je sois ?) que j’ai envie d’être entre tes mains, avec tes mots et les miens...

Moi : Salope ! (ce mot me vient à la bouche).

Elle : Au-delà du questionnaire et comme tu peux déjà le lire, je me livre totalement à toi. Je te dis tout… Dans notre jardin secret sommeille un volcan dont les entrailles sont prêtes à rugir, à exploser. Pour cela, ce volcan a juste besoin d’un vulcanologue téméraire venant le caresser de ses mots. Ce volcan s’appelle Pascale. Désires-tu toujours l’explorer, mon chéri ?

Moi : Je suis l’Haroun Tazieff de cette Passy.
Je n’ai pas peur de ses entrailles brulants de ses débordements torrides.
Viens chienne libidineuse, viens prendre ton os.
Et pendant que tu le ronges, de mon fouet je ventile ton corps.
Tu n’es que la page où le fouet trace ses marques.
Chaque partie de ton corps est fouetté…
Jusqu’au moment où tu me demanderas « grâce », grâce d’arrêter de te caresser avec le cuir Ce corps de femelle en rut, de salope concupiscente qui est là pour mon plaisir. Catin à prendre à utiliser, à offrir, pute à vendre…
Je frappe, le cuir lèche ton corps… demandes grâce !

Elle : Si oui, méfie-toi car de simples mots crus, des « horreurs » que tu lui diras, il réagira en conséquence. En volcan femelle ivre de laves brûlantes, ivre de fumées libidineuses, dans nos mails comme dans nos récits. Et tant pis pour toi, si cela te fait bander. J’espère même que tu te branleras souvent en pensant à moi, ton volcan plein de vie, ta douce salope…
Oui, j’espère que tu m’accompagneras dans mes fantasmes qui deviendront les tiens et inversement. Et tu es alors certain de me faire jouir de toi, car j’adore me masturber…

Moi : J’aime aussi cela me masturber.

Elle : Et lorsque je suis heureuse, je donne beaucoup. Je suis de nature généreuse.
Juste une petite confidence innocente (et volcanique ?) en passant : ce soir, je suis vêtue très sagement d'une jupe un peu ample, d'un chemisier noir et d'un haut de maillot de bain rose, mais je n'ai pas mis de culotte pour être plus à l'aise devant le clavier. Pour me caresser tout en t’écrivant… Quant à ma bouche, elle se ferait un plaisir de t’avaler la bite, mon beau salaud, et cela jusqu’aux couilles… Oui, j’en suis capable… Tout en me masturbant devant toi…

Moi : Pourquoi mettre une culotte lorsque tu me lis ?
Tu vas l’ôter à un moment, elle ne sert à rien.
Les femmes que je « domine » le savent bien que lorsque nous nous rencontrons elles ne doivent pas avoir de culotte. Elles savent que je les veux libre d’accès.

Pour Ma Bite, comme tu l’écris elle n’entre pas dans ta bouche aussi facilement c’est une récompense de me sucer, de sentir mon odeur. Être une salope n’est pas suffisant. Tu crois que je vais mettre mon sexe dans ta bouche ainsi ?

Je ne suis pas très gros mots, oui j’en dis régulièrement des « putains », des « merdes »… Au lit je n’ai jamais insulté une femme, pas de salope, pas de pute, pas de…
Les femmes qui se sont soumise ont eu des « Chiennes », « Esclaves » pas vraiment de quoi te faire changer de culotte.
Je veux bien apprendre, je n’ai juste pas trouve en face des femmes qui me le demandaient

Elle : Effectivement, « Esclave » n’a pas le don de me mettre en émoi, mais Chienne, cela vaut des salopes, putains, trainée, sale pute, pouffiasse et j’en passe. La vulgarité, je déteste en temps normal. En toute simplicité, il est vrai que je délivre l’image d’une femme élégante et sage, une bourgeoise parfois BCBG, a priori coincée, pouvant être tout aussi agréable que hautaine si je n’apprécie pas une personne. Mais, si j’ai le malheur d’être excitée… Et, en te lisant, tes mots me font déjà un effet qui « m’obligent » à me comporter comme une traînée. Alors, tu as devant toi une bourgeoise qui te demande de ne pas hésiter à lui dire des choses très, très sales.

Moi : Esclave, chienne, salope… peu importe le mot, les mots c’est que tu saches que tu ne peux rien me refuser. Viens femelle bourgeoise BCBG, sans culotte viens que je vérifié si tu es vraiment accessible, si je peux me servir de toi. Passer simplement ma main sous ta robe, ta jupe pour connaitre ton état, savoir si tu es vraiment une sale pute prête à la saillie.

Elle :
Je serais aussi enchantée que tu veuilles m’amener à me conduire, à devenir une putain et ta salope. En retour, je te propose une sorte de charte qui pourrait s’identifier à notre relation si prometteuse, charte à revisiter peut-être par tes soins :
« Espoir - imagination - écriture - amants virtuels - force des mots -  vice – douleur (pour moi) - indécence - rêve - séduction – douceur – câlins - franchise - sensibilité - sensualité - respect - trouble - confiance – plaisir et absence de jugement »

Moi : Tu l'es déjà. Moi je peux juste te conforté dans ce que tu es.
Une Nonne ne deviendra jamais libertine si elle ne l’est pas déjà. Elle peut l’ignorer là c’est un autre domaine.

Elle : Je meurs d’envie de l’appliquer. Je serais cette maîtresse virtuelle, XXX chéri, mais à la condition expresse que tu sois toi-même mon amant, l’amant vicieux à qui je pourrai avouer mes fantasmes les plus secrets, les plus pervers, sans que tu me juges, mais en me disant ce que tu en penses. Ta putain sur qui tu pourras expérimenter tes désirs les plus refoulés, dans des histoires, des récits, des scénarios, des jeux, des suggestions les plus pornos, les plus cochons que nous pourrons imaginer. Est-ce que tu bandes à cette évocation ? Pour ma part, je te répète que je mouille comme une salope à évoquer tout cela.

Moi : Tu contrôles tes mots. Ils sont là pour me faire vibre, que j’ai une érection et tu as peur que je perde le sens de notre échange.
Tu veux l’être soit le !
Tu veux dire des choses t’abandonner fais-le !
Je ne vais rien faire de ce qui n’existe pas. Je peux révéler, sublimer ce que tu es et si tu le souhaite vraiment.
Mes désirs refoulés ^^ Passy j’en ai peu, je trouve petit à petit celle qui me fait découvrir d’autres sensations.
Malgré mon vieil âge, j’ai encore du succès. Ne penses pas que je reste devant l’ordinateur à trouver l’image, le texte qui me fait vibrer. J’ai besoins de contact, de toucher, de sentir, de gouter l’autre.
Je suis un cérébral, je l’accorde volontiers et mes « rêves » je les réalise.
Je ne me servirai pas de mes « fantasmes », je me servirai de tes faiblesses et failles pour te caresser. Je ne suis plus ou moins l’objet de la belle, pute ou salope. Je suis l’outil qui sert à la faire jouir. C’est cela que tu veux ?
Tu veux que je te fasse jouir, que je te donne du plaisir épistolaire, que tu te serves de moi comme un gadget.
J’ai accepté le deal, je vais te faire jouir de mes écrits, de mes mots, ils te pénétreront te donneront des idées des envies d’être offerte, possédée, convoitée et abusée.
Mouilles et masturbes toi l’idée me plait.
Mets je n’oublie pas que tu es la Pute dans cet échange.

Elle :
Rien qu’avec ton mail, même s’il ne faisait que donner les contours possibles de notre relation, tu me fais déjà mouiller. Alors, nul doute que lorsque j’aurai à lire toutes les « horreurs » que tu m’enverras, salope comme je suis, mes doigts ne pourront pas quitter ma chatte, mon petit trou ou les deux. Tu ne peux pas savoir comme cela m’excite l’idée d’être ta putain et ton amante. Tout comme toi, je n’ai pas envie que tu me juges, je n’ai pas envie de te juger, mais j’ai très envie que tu me conseilles et même que tu me guides à l’occasion.

Marcel VERTES, "L'Ombre", extrait du portfolio Le pays à mon goût, Paris, 1921



Prends la plume 6



Moi : Ma Putain, mon amante ^^. Que je te conseille et te guide, donnes moi tes règles ! Ta conception.

Elle : En tout cas, c'est avec le cœur battant la chamade que je vais à présent te parler de moi, tant l'appréhension et le désir m'emplissent car j’en étais venue depuis longtemps à penser que toute correspondance avec un homme était impossible. J'en ai le haut des cuisses tout humide.

Moi : La correspondance avec un homme est possible. Homme/Femme, Femme/Homme nous n’avons pas la même conception des choses, des événements, des relations. Une femme a souvent besoin d’une approche. Je vais utiliser une « parabole » : Une femme c’est comme une montagne la marche d’approche peut être complexe et des fois plus c’est compliquer plus le sommet est gratifiant.

Maintenant ai-je toujours envie de cette marche ?
Des fois vu d’un homme c’est tellement plus simple de posséder s’en s’occuper de ce que la femme veut !

Et l’image que tu sembles avoir de la domination c’est cela l’homme prend s’en comprendre.
Alors que c’est justement un acte d’amour. Un dominant veut que sa belle soit plus belle (dans tous les sens du terme) elle est le joyau. Il fait attention à ce qu’elle brille et rayonne. Un dominant ne va pas créer une soumise il fat la nettoyer de son enveloppe et révéler ce qu’elle est. Révéler à qui ? À elle à lui… Plus des fois cela dépend des besoins.

Elle : Cela me donne encore plus envie, une envie terrible même de me lancer avec toi dans des échanges très, très cochons et qui, même s'ils n’en restent que virtuels, n'en seront pas moins intenses si tu veux jouer le jeu comme j'ai bien l'intention de le faire de mon côté. Je suis très heureuse de la tournure que semble prendre notre relation. Oui, je vais adorer écrire des tas de textes excitants et même salaces ou simplement parler de nous. Je vais adorer lire tes folies et tes écrits en retour.

Moi : Je suis le journal interactif ^^.
Mmmm, déshabilles toi mais pas trop vite…
Laisses je vais le faire !

Elle : Oui, je te laisse faire. Tu veux me déshabiller toi-même sans doute pour me découvrir. Mais, et toi ? Je ne sais absolument rien de ton physique. Quelle est la couleur de tes yeux ? Portes-tu une barbe, une moustache ? Comment sont tes cheveux ? Tu vois, je suis très curieuse, même si le physique d’un homme m’importe peu pour me plaire.

 Moi :...

Elle : Sache que, comme pour bien des femmes, concernant mes goûts pour les mâles, si on me donne à choisir entre un homme beau comme un dieu mais dénué d’humour et un homme des plus laids mais empli d’humour et de charme, je choisis ce dernier sans conteste. Le physique n’est pas primordial. Je m’attache davantage à la beauté de l’âme. C’est pour cela que j’ai épousé mon mari et que je l’aime toujours. Aussi, tu aurais pu être Quasimodo, avec un gros nez, des oreilles en pointe ou que sais-je, je m’en fiche. Je te veux tel que tu es tout simplement. Décris-toi juste un peu plus s’il te plait…

Moi : Personne ne s’est plaint. Je ne crois pas…
La taille, je ne l’ai jamais mesuré, jamais fait de complexe dessus, ni de concours.
Elle me parait normale. Heu… les dames protestent pour les gorges profondes. Elles bloquent des fois !

Elle : Ouaaahhh !  Moi qui n’ai jamais eu à moi une queue très impressionnante, je pense que la tienne est à mon goût. C’est bon d’imaginer cette belle bite venir me défoncer le cul, sa grosseur et sa longueur venant forcer mon petit trou, puis le fond de ma gorge.

Et, petite question intime, éjacules-tu abondamment ou pas ? Tu sais, j’ai un défaut, comme bien des femmes. Je suis très, très curieuse... Cela peut-il se soigner par de belles cinglées ?

Moi : Je ne sais pas ce que tu souhaites.
Par contre ma semence est moins importante qu’a 20 ans et la puissance d’expulsion aussi.
Plus trop de fantasmes je réalise, je vis et fais vivre.

Elle : Ces mots révèleraient-ils un homme en passe d’être blasé ? Aïe ! Si c’est le cas, malgré tout ce que je viens de te dévoiler sur moi, je dois te paraitre bien fade. Si ce n’est pas le cas, j’espère que l’on fera ensemble un long bout de chemin. Avec nos envies et fantasmes (que tu me ferais vivre ?), lesquels ajoutés à notre caractère cérébral feraient un délicieux cocktail. A ne pas mettre entre toutes les mains toutefois…

Moi : Je ne suis pas blasé, loin de là. Je crois simplement que maintenant je donne la note.
J’ai vécu ce que je voulais.
Mon fantasme d’ado était de coucher et me faire sucer…
Puis à 18 ans de sodomiser ma partenaire.
Je l’ai vécu dès que j’en avais les moyens. Je me suis donné la plaisir de le faire et surtout à ma partenaire.
J’ai un vécu et certaines femmes m’ont entrainé, éduqué… leurs plaisirs. Je suis réceptif et j’ai aussi le chic pour trouver la « faiblesse » de ma partenaire. J’ai l’impression que tout s’est fait « facilement ».
Rien n’est fade si c’est important pour toi je le prends ainsi.
Mon vécu me permet de ne pas juger et d’accepter.

Elle : Pour cela, j’ai hâte que tu m'en dises toujours plus sur ce que tu souhaites (ou en réaction à ce que je te raconte) pour avoir une idée plus précise de toi et pour rendre nos échanges encore plus réalistes. Ce que tu aimes, peu ou pas du tout. En ce qui me concerne, tu as pu découvrir beaucoup de mes fantasmes. A vrai dire, j'aurais pu en citer d'autres si le site les avait prévu, mais ce n'était pas le cas. Dommage... Mais je vais compléter ce manque ci-dessous, en prenant le parti de tout se dire, en espérant tes réactions et que rien ne te choque. Avec mes mots… tout simplement…

Moi : Rien ne me choque.
Sauf ce qui est gore, je ne veux pas voir de sang. Je ne parle pas du cycle lunaire des femmes. Cela m’importe peu de posséder une femme menstrues.
Je parle d’ablation scarification ou toutes actions qui peuvent donner un handicap définitif.

Elle : Pourquoi ? Et bien, je pense qu'il nous faudra faire preuve de sincérité également. C'est à mon sens essentiel pour se donner une chance de durer dans l'exercice difficile, mais excitant qui s'annonce à nous. Sinon, on ne peut faire illusion bien longtemps. En tout cas, j'ai tellement envie que tout cela se concrétise au mieux que je m'efforcerais de me dévoiler selon tes désirs, tes questions et avec force au niveau des mots. Je dois reconnaître que l'anonymat d'Internet m'y aidera. Je me lance...

Mais c’est une forme d’exhibition. C’est tellement honteux de s’exhiber. Et pourtant, cela procure également un plaisir tellement troublant, étonnant. En tout cas, cela nous annonce de merveilleuses promesses. Surtout si tu n’es pas à court d’idée. Hhhmmm, c’est tentant. Je ne demande que cela. Mais, un normand d’une dizaine d’années de plus que moi, est-il assez vicieux pour cela. Et puis, est-il capable de défoncer une femme mariée en manque de bite ? Est-il capable de la violer, de la faire crier avec sa ceinture ou sa queue ? Est-il capable de la faire fondre de bonheur par les câlins ? Oh le doute me ronge…

Moi : J’aiderai, je te pousserai aussi. Cela va dépendre de nos échanges et de ce que nous voulons en faire.

Elle : M’aider et me pousser. Oui, je crois que cela me plairait beaucoup. Oui, j’ai envie que tu me fasses jouer des rôles dans lesquels je regretterais que cela ne soit pas la réalité (et peut-être me donne parfois envie d’essayer réellement). En rêver la nuit, et même le jour…

Moi : Le bus et Image [A venir] sont des scénarii où j’essaye que tu te reconnaisses. Où tu es envies de te glisser dans le personnage féminin.
J’espère que mes mini histoires éveillent des choses bien plus que les lire et se sentir émoustillée.

Elle : Tu ne veux pas t’allonger sur ce divan ? Dommage car je suis très attirée par les jeux d'infirmière. C'est un métier qui m'a toujours fasciné. Je pourrais bien venir te soigner, à ma manière, dans nos échanges un de ces jours sur ce divan. Faire durcir ta queue qui défaille. J'adore sucer une bite toute molle, la faire revivre, la pomper, la lécher sous toutes les coutures, l'avaler jusqu'à la racine pour bien l'enduire de salive, te prendre entre mes gros nichons de salope jusqu'à ce que tu gicles tout au fond de ma gorge. Un délice ! Oh oui, ton infirmière, ta pute, ta chienne, ta chienne à dresser... T'embrasser goulûment pour partager ton foutre avec moi. Puis, en guise de prise de température pour me calmer, m'enculer à m'en faire crier avec ta bite que j'aurais vite fait de faire revivre... Qu'en penses-tu ? Cela ne ferait-il pas un beau récit ? Est-ce celui-là que tu voudras que je t’écrive ? Ou bien plus tard si tu préfères que je t’écrive d’abord une rencontre plus classique mais excitante (j’ai une petite idée).
Lâches toi si cela te fait plaisir.
Je dis plaisir je devrais dire si cela te donne envie de te faire empaler, prendre comme une salope, une chienne être là en levrette utilisé et utilisable par l’homme qui le souhaite.

Moi : L’infirmière pourquoi pas… Qu’elle s’occupe magnifiquement de son patient pour le ressourcer. Une bonne pipe n’a jamais fait de mal je pense. Partageons mon foutre cela ne me dérange nullement. Ma bite oui d’autres objets, j’ai des spéculums vaginaux et anaux, je pourrai vérifier si ma bite peut entrer en toi. Te dilater pour insérer bien plus qu’un sexe.

Suite.