Un train bondé

Des histoires de train nous en avons tous. Lorsque l’on arrive en retard à un rendez-vous, on peut facilement accuser la SNCF : « Ce n'est pas de ma faute, mon train a eu du retard ».

J’ai une anecdote personnelle sur les trains.
À une période, je travaillais au Royaume-Uni et revenais régulièrement en France.
Train, bateau, train… Départ : Londres. Arrivée : Paris.
Le train de nuit ne partait de Calais que vers cinq heure du matin alors que le ferry arrivait à une heure trente.
Nous devions attendre sur une voie de garage le départ.
Une fois, ce fameux train où les places étaient faciles à trouver pour dormir avait un assemblage spécial. À la place de voitures, la SNCF avait fait un montage artistique voitures et wagons. Trois Voitures et cinq wagons-citernes… Je peux vous confirmer que je ne peux pas entrer dans un wagon-citerne et que le nombre de voitures ne correspondait plus à la populace présente. L’attente fut longue…

Mais lorsqu’on est soi-même la SNCF, qu’est-ce qu’on dit ? On a rassemblé pour vous les pires excuses de notre compagnie ferroviaire nationale. Tout est véridique.

En attente d'un membre du personnel de bord.
La fameuse panne de réveil. Elle est si courante, pas de raison que ça n'arrive pas de temps à autre au personnel de bord. Si on estime à 40 000 le nombre de conducteurs et contrôleurs de la SNCF, et qu'on part du principe que chacun d'eux peut légitimement oublier de se réveiller une fois par an (le lendemain d'un anniversaire arrosé par exemple), cela fait tout de même 110 pannes de réveil par jour sur l'ensemble du réseau.

Attente d'une rame ou de la locomotive.
J'étais pourtant sûr de l'avoir garée ici… mais où peut-elle bien être ? Si cela peut vous arriver quand vous avez garé votre voiture à une place inhabituelle, cela peut aussi arriver aux conducteurs de train. Si si...

Arrêt exceptionnel.
Quand on est à court d'excuses...
- Pourquoi sommes-nous arrêtés en plein milieu de la cambrousse ?
- Parce que c'est exceptionnel.
- Ah ok...

Conditions climatiques exceptionnelles.
« Ch'est bon mais ch'est chaud »… ou froid les caténaires gèlent…
« Le retard de votre train ne vous permet pas de bénéficier de la garantie ponctualité. L’incident, dû à des conditions climatiques exceptionnelles, n’est pas imputable à la SNCF ».

Affluence exceptionnelle de voyageurs.
Scoop : cette année le lundi de Pâques est encore tombé un lundi. Votre train a 45 minutes de retard au retour d'un week-end de trois jours et c'est l'imprévisible affluence de voyageurs qui a pris de court la SNCF… Sans aucun doute une des pires excuses de la SNCF.

La fameuse affluence exceptionnelle combien de fois…
Une fois pourtant.
Je suis à Clermont-Ferrand pour le Nouvel An chez un ami.
Je raccompagne Monique chez elle.
Clermont-Ferrand ->Lyon.
Lyon -> Nice.

Nous montons dans le train Coup de chance ou effet du hasard ? Nous trouvons deux places assises dans ce train à compartiment. D’autres voyageurs occupent rapidement les places. Juste lorsque le train démarre, un couple arrive et nous présente leurs réservations.

Nous nous retrouvons debout dans le couloir glacial, je propose de nous positionner à une extrémité de la voiture afin d’être moins dérangé par le va-et-vient des voyageurs dans ce train bondé.

L’avantage les toilettes ne sont pas loin. Par contre, le froid et les courants d’air y sont plus importants.
Je revois Monique dans sa doudoune bleue, le dos collé à la porte et tremblant de froid. Je m’approche d’elle pour essayer de la réchauffer. La chaleur animale de nos corps fait doucement son effet.
Je l’embrasse tendrement.
Nous rigolons de la situation.
Elle claque des dents…


Je l'embrasse de nouveau de bisous plus charnels, ma main caresse ses seins sous sa doudoune.
Je l’ouvre afin de mieux ressentir le galbe de sa poitrine. Monique se laisse faire.
Me susurre, des :
- « Non ! » et des : « Tu es un voyou ! ». Rien qui puisse vraiment me faire lâcher prise.
Sa poitrine est « enfermée » dans son soutien-gorge et sous un pull, mes caresses sont superficielles, pourtant elles semblent avoir un effet réchauffant, Monique ne claque plus des dents.
Elle me souffle ;
- « J'ai envie de toi, de te caresser ».
Je l’embrasse et réponds
- « J’ai envie de toi ! »
Elle se retourne pour coller ses fesses sur mon sexe qui est coincé dans mon pantalon.
L’avantage c’est qu’elle peut regarder le paysage auvergnat.

Mes mains sont plus exploratrices, elles se faufilent sous son pull
Je glisse à son oreille.
- « En arrivant, tu seras à moi complètement ! »
Elle colle sa tête contre la fenêtre et répond :
- « Oui… en rentrant. » Et soupire.
Une de mes mains profite pour se couler dans son pantalon. Je sens qu’elle rentre le ventre.
Monique veut aller plus loin…
Je me colle encore plus près d’elle et déboutonne son pantalon, pour que ma main s’enfonce facilement dans ses profondeurs.
J’arrive aux contours de sa culotte… touche sa toison et le bout de mon doigt arrive à la naissance de sa fente. Monique arrête de respirer. Ma main continue son avancée.

Je flatte sa toison, elle écarte les cuisses et un doigt écarte ses lèvres, elle est trempée.
- « Ta culotte n’arrivera jamais à Nice sèche ».
J'ai sa chatte à portée de main. J'y plonge délicatement mon doigt. Sa tête vient en arrière se reposer sur mon épaule.
- « Tu es un voyou… » Dit-elle tendrement.
Je glisse alors l'index et le majeur entre ses grandes et petites lèvres, fait un bref passage à l'entrée du vagin pour humidifier la pulpe de mes 2 doigts et je remonte jusqu'à trouver la petite boule de chair.
- « Tu me suceras après, et je te sodomiserai, j’adore ton cul !»
- « Ouiii… »
Je ne veux et ne peux pas vraiment faire de grandes choses avec mes doigts dans cette position.
Une fois que je la touche son clitoris je navigue autour en variant la pression, l'allure et l'amplitude… Je m’amuse de ses réactions et elle me répète à l’oreille un mantra.
- « Oui, oui, oui, oui… »
Je fais de petits aller-retour à la base et sur le côté de son clitoris d'un côté ou de l'autre comme si j'essayais d'enlever une petite tâche sur une table.

J'adore la caresser comme ça… elle est bien trempée, je temporise en pinçant ses lèvres à pleine main et en faisant quelques va-et-vient de haut en bas, sa cyprine devient abondant elle est vraiment trempée « de partout ! ». J’aime la savoir mouillée de moi. C'est une manière de me montrer que je sais qu'elle est vraiment chaude et qu'elle ne contrôle plus rien puisque c'est moi qui la tiens fermement par mes caresses.
Mon autre main lui pétrit les seins l’un après l'autre sans plus vraiment de délicatesse.
Et là je lui glisse un puis deux doigts profondément pour faire quelques aller-retour entrecoupés de traitresses caresses appuyées et rapides sur son clitoris afin lui rappeler que ça peut remonter d'un seul coup !

Sa tête sur mon épaule, elle soupire et gémit doucement…
Sa main se glisse entre mes jambes, elle me caresse le sexe machinalement au travers de la toile du jean.
Sa douce mélodie des gémissements langoureux au moment où je la caresse de nouveau son bouton.
Elle a surement envie que je lui mette autre chose que mes doigts !
C’est le calme avant la tempête, le moment où je sais qu’elle va jouir.
J’aimerais la prendre en levrette ou la sodomiser pour garder le contrôle…
- « j'ai envie de te sucer ». Me dit-elle doucement.
Et les saccades appuyées de sa jouissance sur mes doigts fait qu’elle s’abandonne flageolante contre moi.



Le train freine dans le crissement du métal contre métal.
- « Lyon, Lyon, deux minutes d’arrêt.
Les correspondances pour Paris, quai n°…
Pour Nice, quai n°…
Pour… »

A suivre

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