La fessée !

 Le Maître aime fesser. Il aime la crainte qu'il inspire à soumise MélOdie, il aime sa passivité obéissante lorsqu'il la déculotte ou qu'il lui ordonne de le faire... Il aime surtout voir et toucher les fesses de sa victime.

Le Maître prend ensuite un grand plaisir à claquer les fesses offertes à son bon plaisir, à les voir rougir, se trémousser, rebondir et rester dociles sous sa main. Ce spectacle et ce contact sont extrêmement excitants et jouissifs pour lui, autant et même parfois plus qu'un rapport sexuel...

Les motivations de la victime

Elle aime être fessée. Elle apprécie énormément ce subtil mélange d'excitation et d'angoisse qui vont croissant dans les heures qui précédent son rendez-vous avec son Maître
Comme :
«  Le meilleur moment de l'amour est quand on monte l'escalier ! »

Pour la victime ceci est analogue à son état d'esprit lorsqu'elle sait qu'elle va subir la fessée, qu'elle va devoir abandonner toute pudeur, être déculottée, montrer ses fesses et son sexe, être mise dans une position affreusement humiliante et subir le feu sur ses fesses nues.

Ce trouble est terriblement fort et atteint son maximum lorsque que la victime est face à son Maître et que la correction est devenue inévitable.

La victime est également troublée par le désir sexuel qu'elle ressent chez son Maître Pendant la fessée, la victime ressent avec une immense acuité le spectacle qu'elle offre tandis qu'elle se fait déculotter puis mettre en position... Cette terrible humiliation et atteinte à sa pudeur est extrêmement troublante pour elle. Puis tandis que les claques s'abattent sur son verso et qu'elle doit subir leur terrible brûlure, elle reste constamment consciente que malgré elle ses fesses se colorent, bondissent, que ses jambes bougent et s'écartent, bref qu'en plus du feu qu'elle ressent aux fesses, elle devient de plus en plus impudique, plus nue que nue...

Mélodie

Mon Maitre vénéré

« Qu’il me baise d’un baiser de sa bouche !…
Tes caresses sont plus douces que le vin, quand elles se mêlent à l’odeur de tes parfums exquis ; ton nom est une huile épandue…
Entraîne-moi auprès de toi ; courons ensemble. Le roi m’a fait entrer dans son harem. »



Je sais très exactement ce qu'exprime le cantique des cantiques c'est pour cela qu'il me touche autant...
Savez-vous, vous, ce qu'il exprime de si subtil mais si fort ?
L'Amour et l'Amour en plénitude ! Amour humain ! Qui est comparé à l’Amour Divin.

C'est à dire que pas une parcelle de la vie de la belle n'est ignorée de son Seigneur et Maître (homme comparé à Dieu), et ce n'est pas que la belle qui cherche son Maître mais Lui qui la cherche aussi et veut la séduire, pour lui donner le meilleur de Lui-même, pour la sauver, pour lui rendre La Vie qu'elle a perdu sur tous les chemins de son existence...
Parce qu'Il la connaît, il sait sa vie, ses erreurs et ses malheurs, ses souffrances et ses douleurs, ses peines et ses bonheurs, mais Il ne juge pas, il comprends sa fragilité et son désir, à cette assoiffée de justice et d'amour pur, son besoin et son désir de se donner, mais il a peur pour elle, peur qu'elle ne se trompe encore...

Alors il lui court après comme Dieu qui n'a de cesse que nous nous tournions vers Lui pour qu'Il puisse nous guider, nous orienter, qui Lui est Le Maître. Le Maître d’Amour par excellence.

Mais elle aussi le cherche, mais elle s’est trompé déjà si souvent…
Elle ne sait plus qui elle cherche, elle ne sait plus très bien non plus qui elle est, et ce qu’elle cherche vraiment et pourtant  sous les erreurs, les incertitudes, et les malheurs, son cœur est blessé certes mais vivant et en attente…
Prêt à se donner  totalement  et sincèrement encore, à celui qui saura apprécier et qui n’aura pas peur de se donner dans un échange mutuel, librement consenti et où chacun s’épanouira librement.


2
« Comme un pommier parmi les arbres de la forêt,
mon bien aimé entre  les garçon
A son ombre, selon mon désir, je me suis assise,
Et son fruit est doux à mon palais,
Il m’a fait entrer dans la maison du vin,
Et son étendard au-dessus de moi c’est l’amour,
Soutenez-moi avec des gâteaux de raisin,
Ranimez-moi avec des pommes,
Car je suis malade d’amour. »


3
« Sur ma couche, la nuit j’ai cherché celui que mon cœur aime ;
ai cherché et ne l’ai point trouvé
Je me lèverai donc et je circulerai dans la ville
les rues et sur les places,
Je chercherai celui que mon cœur aime,
Je l’ai cherché et ne l’ai point trouvé.
Les gardes m’ont rencontrée,
Ceux qui circulent dans la ville,
L’avez-vous vu celui que mon cœur aime ? »




Ode à l’amour

Tout est si fort et pourtant si subtile,
Si exultant et pourtant si secret.
Un regard perdu, distrait ?
Juste plongé dans l’indicible.

Délicatesse d’un geste, discret
Qui en douceur révèle
Du cœur de chaque étoile
Semée par  l’Éternel
Un amour en mémoire,
Fait pour être propagé

Sourire qui flotte, allégresse !
Sur des lèvres sensuelles.
Corps léger qui vibre de vie et d’espoir,
Pieds agiles, aériens, qui mènent vers l’étreinte.
Et le cœur qui exulte,
D’un bonheur retenu.

L’amour ne se dit pas,
L’amour se vit.
L’amour  croît,
Là où la liberté surgit.

Écrire des phrases poétiques,
Et dire la vie qui s’exprime
Vocation inscrite en notre cœur
Par Le Sublime Créateur

Un peu d’espoir et de douceur
On à tant besoin de bonheur
Et la sensualité est aussi,
Un don de l’Esprit
.

MélÔdie



Mon corps, mon cœur, mon âmes sont a vous Maître, toujours et partout pour votre   plaisir, où et comme vous l'entendez, le désirez Maître Homas

Je  mendie vos baisers, espère vos  caresses, vous implore de me prendre, vous supplie de me garder. Je veux vous offrir mon corps, mon cœur, mon âme, mes cris, mes larmes, mes jouissances. Ma tendresse, mon amour
Il me tarde d’être totalement à vous Maître Homas

Respectueusement mais non moins tendrement
Votre soumise MélÔdie

Alors nous avions rendez-vous à Senlis à 10 h 10

Je suis partie à 8 h de chez moi pour être sûre d'être à l'heure, sans plus me poser la question de si j'étais folle de vivre cette aventure, question que j'avais eu bien le temps de me poser auparavant, je fonce donc au volant de ma jolie petite voiture, mais un brouillard à couper au couteau m’accompagne tout le long de la route, et pour comble en arrivant à Senlis je me suis perdue, je suis donc arrivée avec un quart d'heure de retard, j'ai pris soin de téléphoner pour prévenir de mon retard, ce que mon Maître a semblé apprécier, moi qui voulait être à l'heure et même arriver avant, ça commençait bien, la pression montait doucement...
Arrivée devant la gare de Senlis personne, je tel donc à mon Maître qui me dit qu'il arrive, il était parti faire un petit tour en attendant.

Je me plonge dans un livre acheté la veille et laissé exprès dans ma voiture, ce qui m'évite de penser et de stresser.

Soudain une silhouette me fait de l'ombre et attire mon attention. C'est lui.

Je sors de la voiture, et me retrouve face à lui, très intimidée je n'ose le regarder, il est grand, il me faudrait en plus lever la tête, je n'ose et lui murmure un bonjour presque inaudible, voyant mon trouble il me dit bonjour en m'embrassant sur les deux joues, me propose d'aller prendre un café ou de reprendre la route vers Paris. Nous devons passer le week-end, sans un mot je lui tends mes clés et cours me réfugier dans ma voiture coté passager, je me sens plus en sécurité étant sur mon terrain...

Nous démarrons, il me pose quelques questions très gentiment et très calmement, je lui réponds aussi calmement que je peux mais le trouble est en moi, puis silence, il ne dit plus rien m'ayant invité à poser toutes les questions et à parler de ce que je voulais, tout ce bouscule dans ma tête, je ne sais quoi dire, et lui reste toujours silencieux, je ne sais plus comment me tenir, je stresse, et lui imperturbable se tait, je sais bien qu'il m'observe du coin de l’œil, l'angoisse monte je ne peux plus la contenir, mes jambes se mettent à bouger, cherchant une position, plus confortable, plus sécurisante ? ? ?

Voyant mon trouble il fait allusion à ma nervosité, me tend une perche en alimentant la conversation, ouf ! Je respire un peux mieux, arrivée sur Paris il gare la voiture dans un parking et descendant il me vole un baiser, délicieuse sensation, rassurante, puisqu'il m'avait dit qu'il n'embrassait sur la bouche que celles qu'il aimait, baiser profond qui me calme et je m'abandonne un peu, reconnaissante, entre ses bras...

Après avoir pris chacun notre sac, il m'emmène à travers les rues de Paris vers mon « lieu de recueillement » comme il dit (sourire)...

Mais une envie de faire pipi commence à me tenailler le bas ventre, ce qui le fait sourire, tout comme ma main glissée timidement dans la sienne et les baisers que mes lèvres ne peuvent plus retenir qui se posent là où ils peuvent tout le long du chemin...

Nous arrivons à l'hôtel et il faut encore attendre pour remplir la fiche etc. Je n'en peux plus alors avec tact il demande où se trouvent les toilettes, j'y cours ouf ! Il était moins une...

Quelques minutes plus tard nous nous retrouvons seuls tous les deux dans la chambre, intimidée je n'ose lever la tête, il m'observe, je suis gênée, il m'examine, semble me trouver à son goût…Il m’apprend que tout commence toujours par la toilette du Maître, et se termine aussi ainsi…Donc à genoux pour une fellation sauf qu'il s'enfonce en moi jusqu'a la limite de me faire vomir, sans pour autant se répandre en ma bouche qui n'attend que ça, recueillir sa semence…

Non ! Mon Maître sait se contrôler très très longtemps, je m'en apercevrai tout au long de ce week-end, me demandant sans cesse si je suis à la hauteur, (mais il sait me rassurer et très vite découvre mon manque de confiance en moi... ce qui sera son but : me donner confiance en moi, en lui...)

Il me caresse, puis soudain il m'attrape à bras le corps me dépose sur ses genoux, baisse ma culotte et me donne une fessée, je ne comprends pas et proteste ;
- Qu'aie-je fais ? Une fessée pour rien ce n'est pas juste !
- Et le retard ? ? Me répond t’il !
- Je n'ai pas fait exprès et j'ai prévenu et en plus me suis excusée
- Oui je sais, j'ai noté tout cela, la fessée sera donc plus courte, cinq claques seulement sur chaque fesse !

Oui mais quelles claques, je me tortille mais il me tient de son bras puissant, je me protège de mes mains mais il sait comment les maintenir pour qu'elles ne perturbent pas sa cadence ouille ! ! Il me dépose sur le lit, honteuse je reste sur le ventre, la tête cachée dans l'oreiller, mon cul chauffe mais ma fente est toute humide de ses doigts savamment introduits entre chaque claque, il admire mes courbes et la couleur de mes fesses, il semble satisfait... et moi excitée ne demande qu'a continuer sa première leçon de soumise... Et des premières fois je vais en avoir ce week-end…

Il me sodomise avec délicatesse, mon petit trou étant peu habitué, mais avec fermeté, jamais je n’ai été sodomisé aussi profondément, je suis très excitée mais n’arrive pas à me laisser aller, malgré ses attentions, je bloque ma jouissance ayant peur de cette fontaine qui jaillit, et surtout de faire pipi en même temps, cette pensée me harcèle…Et bien qu’il me dise que cela n’a aucune importance je ne peux me détendre…

Soudain il se retourne, fouille dans son sac, j’essaie de voir ce qu’il prend mais il me maintient ma tête tournée dans l’autre sens !

Que fait-il ? Il me retourne et je sens mon cul pénétré par un gode bien enduit, humm ! Sensation voluptueuse, ai-je jouie je ne sais plus…

Mais, action… réaction, je n’ai pas obéi, je ne me suis pas laissée allée, je devrais sortir avec ce gode en moi, je peux supplier de me le retirer rien à faire !

Avouer mon angoisse que le gode ne puisse se retenir seul et tombe…impossible !

Ma gène qu’il se voit sous mon pantalon…Tant pis !

Je me rhabille donc penaude et nous allons déjeuner et pour corser un peu il faut que je me perche sur un haut tabouret, chaque mouvement me rappelle mon supplice…

Nous devions nous promener et visiter un musée mais trop gênée mon Maître accepte que nous rentrions à l’hôtel pour me délivrer, quel soulagement…

Mais nous n’irons pas au musée nous reprendrons la leçon, pas vraiment une punition, je ne demande que cela…être toute a lui…



Qu’ai-je fait pour mériter une correction ? Je ne me souviens plus, mais j’ai peur de tout, refuse systématiquement ce qu’il me propose donc…

Fessée sur ma fente aïe ! , sa main est ferme, mes lèvres gonflées rougissent et sont excitées…

Autre refus, je le vois attraper son pantalon ôter sa ceinture… Ah non alors pas ça, ça fait trop mal ! Mes fesses y goûteront quand même, vexée et les yeux pleins de larmes je cache mon visage aux yeux de mon Maître…

Sa tendresse et ses explications, me réconfortent… Mon cœur palpite dès qu’il me regarde… J’ai confiance en lui…

Avant de sortir finir notre ballade, il m’introduit subrepticement, trois boules dans le vagin je les garderais toute la soirée, je sais que ce n’est pas la peine de protester, j’exécute…Contente de pouvoir enfin lui obéir !

Nous nous promenons, et à ma demande nous allons voir pour acheter un collier, mais j’en veux un que je puisse porter le plus souvent possible, même en son absence, il faut donc qu’il soit visible mais que rien ne puisse dire qu’il est symbole de D/s, pas facile à trouver, on verra plus tard en attendant, je peux porter, dans l’intimité, celui qu’il me tend, en cuir rouge assez gros, je le mettrais même dehors ce week-end, sous mon écharpe en soie bleu ciel, trop peu de temps hélas le foulard glisse et le laisse apparaître…

Après le restaurant nous rentrons à l’hôtel il est tard, suis fatiguée mais toujours très excitée que me réserve cette nuit ?

Je le provoque l’agace alors il m’attrape et entreprend de m’attacher en croix sur le lit, pas facile, je joue à l’anguille, j’aime ce jeu, j’aime l’agacer, le provoquer, jouer avec le feu, mais je sais bien que face à un spécialiste du bondage je ne fais pas le poids, oui mais ma réaction est imprévisible pour moi, je panique sévère, il essaie de me rassurer mais peine perdue…Il me détache et je me blottie contre lui, je suis envahie de moult sentiments, peur, honte, culpabilisation d’avoir déçue mon Maître……


L’apprentissage n’est pas facile… Suis-je faite pour être soumise… J’aime mon Maître je veux continuer mais ne l’ai-je pas déjà trop déçu ? ? Va-t-il vouloir encore de moi ? ? ?

Je m’endors sur ces interrogations…

Sommeil agité, cauchemar, je me réveille, où suis-je ? ?

Ah oui ! Prés de lui, il dort, je me serre timidement, tout contre son corps chaud, mais bien vite une envie de faire pipi m’oblige à me lever, et me rappel son ordre : si tu te réveilles cette nuit, tu me fais une fellation !

Je suis fatiguée et je n’ai pas envie d’obtempérer, mais j’ai trop envie de lui faire plaisir et il faut bien que je l’avoue de lui plaire, je m’exécute d’autant plus facilement que j’aime ça… le reste lui pourra peut-être le raconter je ne sais plus, je me souviens mettre rendormie dans ses bras…


Encore ensommeillée, je passe ma main sur mes lèvres, quelle heure est-il ? Quelque chose vient de me réveiller…

Je n’ai pas le temps de m’interroger, ma bouche est pénétrée par son sexe dressé comme un mât, jamais je n’avais connu ce genre de réveil, je suis à lui, il me possède …

Vite nous nous habillons et descendons prendre le petit déjeuner, en tête-à-tête, nous sommes seuls, je prends des forces pour tenir jusqu’au soir ! Enfin le droit a ma première cigarette, dehors ! Pendant que mon Maître prépare son bain…Le soleil caresse doucement mon visage, la première bouffée me laisse planante, j’aime cette sensation, j’aspire et retient longuement la fumée dans mes poumons avant de l’expulser Rageusement, je titube, m’appuie au mur et savoure cet instant de liberté, mais déjà mon Maître me manque, je jette cette voleuse de santé, cette voleuse de présence, cette compagne aliénante, mais seule présente dans ma solitude, non c’est faux Lui est, toujours et partout et emplit tout, je le sais que Lui seul me berçait de cette certitude que j’étais aimée, pour ce que j’étais et que le soleil brille toujours quelque part et qu’il nous faut le chercher, toujours et souvent là où on ne s’y attend pas, Il est en moi Il est constitutif de moi, et je le trouve aussi en toi, mon Maître, IL est mon guide, tu es mon Maître, je ne peux vivre sans Lui et déjà je m’attache à toi, je cours vers toi, je te retrouve près a prendre le bain je me glisse dans cette eau que tu parfumes pour moi, je me cale entre tes jambes, contre ton sexe, ton ventre, j’aime le contact de nos deux corps, j’aime parler avec toi, j’aime nos échanges quels qu’ils soient…

J’aime ! Que tu t’occupes de moi, que tu m’ordonnes j’aime tout de toi…

Pas de culotte sous ta robe ! ! Heu non pas ça ! Juste un string, en plus celui là vraiment juste un triangle minuscule sur le devant c’est presque rien ? ? ?
- Non !
Te pensant suffisamment occupé je l’enfile discrètement, eh ! Oui je ne te connais pas assez…
Tu as vu et ne dis rien, je crois t’avoir dupé, la punition je ne la connais pas encore…


Je ne sais plus quand tu me l’as dit mais j’ai bien dû la retirer, dans la voiture, pendant que tu conduis, en plein Paris, tu m’ordonnes de te sucer, la honte quand on s’arrête au feu rouge ! ! Et c’est toi ensuite qui me caresse sous ma jupe, tes caresses et l’excitation d’être vue me font jouir, le siège est trempé…Pendant que tu vas voir les horaires de train j’exhibe fièrement mon collier, deux enfants qui passent, devant la voiture avec leur père, me regardent ébahis, je leur souris, radieuse, j’ai envie d’éclater de rire devant leurs yeux écarquillés…Tu reviens je te montre le collier maintenant caché sous mon écharpe…

Nous allons prendre un verre en terrasse tes mains se baladent sous ma longue jupe, j’aime ta douceur le long de mes cuisses… Nous reprenons la voiture, quel est ce geste qui attira le regard de cette femme ? ? Je ne sais plus, mais j’ai senti le rouge m’envahir, et mon excitation, revenir, à l’écart dans un sentier forestier je fais ta toilette avant que nous nous quittions déjà… J’ai bien du mal à démarrer la voiture lorsque mes yeux t’ont perdu de vue, un dernier coup de tel et je file emportant ta voix… Trop difficile la séparation, mais je pense à ce week-end, je le garde au chaud au plus profond de moi et je me promets d’y repenser à chaque coup de cafard, alors j’ai passé cette semaine à penser à toi… Mon Maître vénéré…

J’aime cette sensation de t'appartenir, dommage je ne me souviens que des tes mains douces et fermes qui touchent et caressent ma peau, qui s’introduisent et me fouillent, j’aime ta voix qui m’ordonne et me rassure, j’aime ton regard doux et tendre, ferme et sévère, même si j’ai peur parfois quand il se durci, je me sens toute petite, sans défense, il me faut quelque chose, quelque chose pour me rassurer, mon secret je ne peux plus le garder pour moi, trop besoin de mon refuge, je me replie sur moi-même et honteusement suce mon pouce…

Réaction infantile mais au combien rassurante et nécessaire, vitale même, pour moi, en ces temps d’instabilité où mon quotidien, difficile depuis de nombreuses années, bascule vers une nouvelle liberté à conquérir et, enfin j’espère…Le bonheur, juste un peu de bonheur

MélÔdie

Cette fois rendez vous à 11 h 00 à Chantilly

Et encore en retard, à cause d’une panne de voiture, décidément je cumule, moi qui suis toujours si ponctuelle, bizarre bizarre…

Devant la gare, quand je vous ai vu apparaître j’avais très envie de courir vers vous de me blottir dans vos bras, de vous embrasser de tout mon cœur, pas pu Maître, timidité ? Je ne sais…

Charmant ce petit hôtel, je suis séduite et touchée par votre goût, votre prévenance Maître, personne jamais n’a eu autant de délicatesse pour moi, il m’est difficile de pouvoir le dire de vive voix et tout de suite, trop émue…

Alors nous voici dans la chambre, perturbée par les problèmes de voiture, par le stress d’être en retard je ne sais plus que faire, moi qui voulais, me déshabiller, nue, à genoux à vos pieds, faire votre toilette, recevoir ma correction, je ne fais rien j’attends que vous m’ordonniez et je reçois la correction mérité : 20 coups de martinet, que je reçois apeurée et tendue ça fait mal la peur, plus que le martinet que vous aviez prévu, pour votre soumise si rebelle, si peureuse, si sensible…

Pourquoi la fessée ? Je ne sais plus, mais là j’ai eu mal pas pu retenir mes larmes et mes sanglots et la honte, je l’ai encore, mais ces larmes m’ont fait du bien, ailleurs je n’ai pas le droit de pleurer, pas le droit d’être faible, pas le droit d’être femme, sensible, douce, passionnée, d’être moi… Et votre voix ferme, sereine et tendre, jamais connue ça moi, ça me bouleverse…


Vous vous êtes vraiment fâché, je ne sais plus pourquoi (ça m’énerve de plus me souvenir, vous pourrez compléter Maître s’il vous plaît, comment je ferais pour ne pas recommencer si j’oublie chaque faute) En tout cas je sais que j’étais triste, très triste de ne pas vous obéir, et que j’ai cru mourir quand vous alliez partir, pardon Maître mais je ne sais pas pourquoi mais je dis souvent non avant de dire oui c’est plus fort que moi, je crois que j’ai besoin de ce temps entre le non et l’acceptation… Et ce qui ressemble à de la bouderie n’est bien souvent que de la tristesse de ne pas pouvoir vous obéir Maître, j’aimerai tellement pouvoir, être ce que vous désirez…Peut-être faut-il que vous m’obligiez plus, que vous preniez ce que je refuse ? Je ne sais pas…

Je veux tout apprendre de vous Maitre:
Laisse-moi devenir
L'ombre de ton ombre
L'ombre de ta main
L'ombre de ton chien

J'ai hâte de me donner à vous encore et encore, tant pis si je pleure, je veux être à vous, toute à vous...
Mais j’aime sentir vos mains douces, tendres et caressantes ou fermes dures et cinglantes,
J’aime que vous me fassiez découvrir de nouveaux supplices, j’aime aussi vous résister et que vous ayez le dessus…

J’aime que vous me fassiez l’amour, me preniez par tous mes orifices, j’aime quand votre main possède ma bouche, mon sexe, j’aime votre sexe gonflé en moi, j’aime que vous vous répandiez en moi, sur moi aussi j’aimerai…

J’aime aussi jouer comme une petite fille, c’est en moi, envie de sauter sur les lits, de faire des batailles d’oreiller, de courir dans les bois, de grimper, de vous taquiner etc.

Veux encore être attaché par vous, pour vous, et l’aperçu que j’ai eu du bondage m’a plu, hummm retirer ma culotte et vous la remettre m’a excité ;)

J’ai aimé que vous me séchiez après le bain, preniez soins de ma fentes avec vos mains et vos huiles essentielles, j’ai aimé avoir mon sexe offert et les pinces que vous y posiez, j’ai eu un peu mal mais j’aime vous appartenir, que vous me possédiez.

La honte au restau le dimanche midi quand j’ai dit sans réfléchir côté fumeur et que comme le claquement du fouet vous avez dit le contraire en me regardant de vos yeux noirs, et j’ai vu le regard et le sourire du couple attablé et de la serveuse, j’ai senti une chaleur m’envahir heureusement je ne rougis pas…

Humm je crois que je me souviendrai longtemps de notre balade dans les bois, j’adore les bois j’aimerai tant habiter près d’une forêt… me faire sodomiser et cravacher, manque juste le confort, un tas de bois aurait peut-être mieux fais l’affaire mais bon et cette fessée sur vos genoux vraiment coquin mon Maître…

Votre sollicitude et votre attention me touche à me faire pleurer, et le flacon des cinq fleurs est la pour me les rappeler……Et la multitude de petits hématomes sur mes fesses plus deux ou trois plus gros sur mes fesses et mes bras aussi, juste un frôlement a ces endroits me rappel mon Maître vénéré et me donne envie de lui

Merci Maître Homas.

Mélodie