Martine est une femme qui aime la confrontation.
Elle aime bien me pousser, me pousser pour que j’aie des réactions contre elle…
Je l’attache régulièrement sans utiliser la violence, elle se laisse faire sans résister.
Pourtant
dès qu’elle ressent les liens contre elle, lorsque je prends ses mains
pour les attacher son corps fond littéralement, son entre-jambe devient
très humide.
J’essaye de trouver de nouveaux contextes, des situations différentes pour donner à nos jeux des ressentis plus intenses.
Une
fois je l’ai attaché dans le couloir de la maison. Ce couloir large de
deux mètres se sépare en deux avec un escalier qui monte vers une pièce
et il continu vers d’autres chambres. Cet escalier donne sur un palier
qui passe au-dessus du couloir comme une passerelle qui a une rambarde.
Cette rambarde permet d’attacher une personne debout avec les bras liés
au-dessus de la tête.
J’aime particulièrement cette position qui n’est pas facile à réaliser. dans une maison, Il faut des poutres ou des crochets.
L’avantage au milieu du couloir c’est que j’ai accès à tous son corps.
Les inconvénients il faut être seuls, je suis chez ma mère heureusement elle part souvent.
L’autre
inconvénient cette position est très difficile pour la personne
attachée, elle fatigue, et si elle à du plaisir les soubresauts peuvent
lui blesser les poignets malgré que je fasse attention en la protégeant.
Martine comme dit ci-dessus provoque, me provoque régulièrement me pousse…
Je
peux partir facilement, me mettre en colère et dans ce contexte j’évite
les rapports sexuels. Je ne suis pas violent physiquement, ne frappe
pas les gens.
Martine par jeu, par plaisir aime pourtant me pousser dans mes retranchements.
Un jour j’avais un fouet de meute, fouet qui est utilisé pour être claqué au-dessus des chien pas pour les fouetter.
J’aime
bien le faire claquer par jeu, j’ai aussi un fouet de cochet hongrois
qui fait 2 mètres 50 qui est difficilement utilisable il faut de la
place et beaucoup d’énergie pour arriver à ce qu’il claque. C’est
amusant pour moi.
Je m’amuse avec ce le fouet de meute et Martine je ne sais plus pourquoi me fait une réflexion.
Par amusement je lui réponds :
- Vient prendre ta dose…
Martine s'avance vers moi.
- Vas-y !
Heu… joker. Je n’ai rien dit, ni rien fait.
Le soir ou un autre soir…
Martine me demande de l’attacher à l’escalier.
Je
ne me fais pas prier j’adore cela. J’aime aussi depuis peu mettre une
barre a ses chevilles ainsi elle est complètement offerte.
Je la caresse, elle se trémousse dans tous les sens. Seins tendus et sexe complétement lubrifié par la situation.
Mes
doigts sont inquisiteurs et la fouillent partout. Je peux la prendre,
la sodomiser aussi. Elle est à ma merci, juste là pour que j’assouvisse
mes envies. Elle vibre sous mes doigts et j’entends ce qu’elle murmure.
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