Prends la plume 6



Moi : Ma Putain, mon amante ^^. Que je te conseille et te guide, donnes moi tes règles ! Ta conception.

Elle : En tout cas, c'est avec le cœur battant la chamade que je vais à présent te parler de moi, tant l'appréhension et le désir m'emplissent car j’en étais venue depuis longtemps à penser que toute correspondance avec un homme était impossible. J'en ai le haut des cuisses tout humide.

Moi : La correspondance avec un homme est possible. Homme/Femme, Femme/Homme nous n’avons pas la même conception des choses, des événements, des relations. Une femme a souvent besoin d’une approche. Je vais utiliser une « parabole » : Une femme c’est comme une montagne la marche d’approche peut être complexe et des fois plus c’est compliquer plus le sommet est gratifiant.

Maintenant ai-je toujours envie de cette marche ?
Des fois vu d’un homme c’est tellement plus simple de posséder s’en s’occuper de ce que la femme veut !

Et l’image que tu sembles avoir de la domination c’est cela l’homme prend s’en comprendre.
Alors que c’est justement un acte d’amour. Un dominant veut que sa belle soit plus belle (dans tous les sens du terme) elle est le joyau. Il fait attention à ce qu’elle brille et rayonne. Un dominant ne va pas créer une soumise il fat la nettoyer de son enveloppe et révéler ce qu’elle est. Révéler à qui ? À elle à lui… Plus des fois cela dépend des besoins.

Elle : Cela me donne encore plus envie, une envie terrible même de me lancer avec toi dans des échanges très, très cochons et qui, même s'ils n’en restent que virtuels, n'en seront pas moins intenses si tu veux jouer le jeu comme j'ai bien l'intention de le faire de mon côté. Je suis très heureuse de la tournure que semble prendre notre relation. Oui, je vais adorer écrire des tas de textes excitants et même salaces ou simplement parler de nous. Je vais adorer lire tes folies et tes écrits en retour.

Moi : Je suis le journal interactif ^^.
Mmmm, déshabilles toi mais pas trop vite…
Laisses je vais le faire !

Elle : Oui, je te laisse faire. Tu veux me déshabiller toi-même sans doute pour me découvrir. Mais, et toi ? Je ne sais absolument rien de ton physique. Quelle est la couleur de tes yeux ? Portes-tu une barbe, une moustache ? Comment sont tes cheveux ? Tu vois, je suis très curieuse, même si le physique d’un homme m’importe peu pour me plaire.

 Moi :...

Elle : Sache que, comme pour bien des femmes, concernant mes goûts pour les mâles, si on me donne à choisir entre un homme beau comme un dieu mais dénué d’humour et un homme des plus laids mais empli d’humour et de charme, je choisis ce dernier sans conteste. Le physique n’est pas primordial. Je m’attache davantage à la beauté de l’âme. C’est pour cela que j’ai épousé mon mari et que je l’aime toujours. Aussi, tu aurais pu être Quasimodo, avec un gros nez, des oreilles en pointe ou que sais-je, je m’en fiche. Je te veux tel que tu es tout simplement. Décris-toi juste un peu plus s’il te plait…

Moi : Personne ne s’est plaint. Je ne crois pas…
La taille, je ne l’ai jamais mesuré, jamais fait de complexe dessus, ni de concours.
Elle me parait normale. Heu… les dames protestent pour les gorges profondes. Elles bloquent des fois !

Elle : Ouaaahhh !  Moi qui n’ai jamais eu à moi une queue très impressionnante, je pense que la tienne est à mon goût. C’est bon d’imaginer cette belle bite venir me défoncer le cul, sa grosseur et sa longueur venant forcer mon petit trou, puis le fond de ma gorge.

Et, petite question intime, éjacules-tu abondamment ou pas ? Tu sais, j’ai un défaut, comme bien des femmes. Je suis très, très curieuse... Cela peut-il se soigner par de belles cinglées ?

Moi : Je ne sais pas ce que tu souhaites.
Par contre ma semence est moins importante qu’a 20 ans et la puissance d’expulsion aussi.
Plus trop de fantasmes je réalise, je vis et fais vivre.

Elle : Ces mots révèleraient-ils un homme en passe d’être blasé ? Aïe ! Si c’est le cas, malgré tout ce que je viens de te dévoiler sur moi, je dois te paraitre bien fade. Si ce n’est pas le cas, j’espère que l’on fera ensemble un long bout de chemin. Avec nos envies et fantasmes (que tu me ferais vivre ?), lesquels ajoutés à notre caractère cérébral feraient un délicieux cocktail. A ne pas mettre entre toutes les mains toutefois…

Moi : Je ne suis pas blasé, loin de là. Je crois simplement que maintenant je donne la note.
J’ai vécu ce que je voulais.
Mon fantasme d’ado était de coucher et me faire sucer…
Puis à 18 ans de sodomiser ma partenaire.
Je l’ai vécu dès que j’en avais les moyens. Je me suis donné la plaisir de le faire et surtout à ma partenaire.
J’ai un vécu et certaines femmes m’ont entrainé, éduqué… leurs plaisirs. Je suis réceptif et j’ai aussi le chic pour trouver la « faiblesse » de ma partenaire. J’ai l’impression que tout s’est fait « facilement ».
Rien n’est fade si c’est important pour toi je le prends ainsi.
Mon vécu me permet de ne pas juger et d’accepter.

Elle : Pour cela, j’ai hâte que tu m'en dises toujours plus sur ce que tu souhaites (ou en réaction à ce que je te raconte) pour avoir une idée plus précise de toi et pour rendre nos échanges encore plus réalistes. Ce que tu aimes, peu ou pas du tout. En ce qui me concerne, tu as pu découvrir beaucoup de mes fantasmes. A vrai dire, j'aurais pu en citer d'autres si le site les avait prévu, mais ce n'était pas le cas. Dommage... Mais je vais compléter ce manque ci-dessous, en prenant le parti de tout se dire, en espérant tes réactions et que rien ne te choque. Avec mes mots… tout simplement…

Moi : Rien ne me choque.
Sauf ce qui est gore, je ne veux pas voir de sang. Je ne parle pas du cycle lunaire des femmes. Cela m’importe peu de posséder une femme menstrues.
Je parle d’ablation scarification ou toutes actions qui peuvent donner un handicap définitif.

Elle : Pourquoi ? Et bien, je pense qu'il nous faudra faire preuve de sincérité également. C'est à mon sens essentiel pour se donner une chance de durer dans l'exercice difficile, mais excitant qui s'annonce à nous. Sinon, on ne peut faire illusion bien longtemps. En tout cas, j'ai tellement envie que tout cela se concrétise au mieux que je m'efforcerais de me dévoiler selon tes désirs, tes questions et avec force au niveau des mots. Je dois reconnaître que l'anonymat d'Internet m'y aidera. Je me lance...

Mais c’est une forme d’exhibition. C’est tellement honteux de s’exhiber. Et pourtant, cela procure également un plaisir tellement troublant, étonnant. En tout cas, cela nous annonce de merveilleuses promesses. Surtout si tu n’es pas à court d’idée. Hhhmmm, c’est tentant. Je ne demande que cela. Mais, un normand d’une dizaine d’années de plus que moi, est-il assez vicieux pour cela. Et puis, est-il capable de défoncer une femme mariée en manque de bite ? Est-il capable de la violer, de la faire crier avec sa ceinture ou sa queue ? Est-il capable de la faire fondre de bonheur par les câlins ? Oh le doute me ronge…

Moi : J’aiderai, je te pousserai aussi. Cela va dépendre de nos échanges et de ce que nous voulons en faire.

Elle : M’aider et me pousser. Oui, je crois que cela me plairait beaucoup. Oui, j’ai envie que tu me fasses jouer des rôles dans lesquels je regretterais que cela ne soit pas la réalité (et peut-être me donne parfois envie d’essayer réellement). En rêver la nuit, et même le jour…

Moi : Le bus et Image [A venir] sont des scénarii où j’essaye que tu te reconnaisses. Où tu es envies de te glisser dans le personnage féminin.
J’espère que mes mini histoires éveillent des choses bien plus que les lire et se sentir émoustillée.

Elle : Tu ne veux pas t’allonger sur ce divan ? Dommage car je suis très attirée par les jeux d'infirmière. C'est un métier qui m'a toujours fasciné. Je pourrais bien venir te soigner, à ma manière, dans nos échanges un de ces jours sur ce divan. Faire durcir ta queue qui défaille. J'adore sucer une bite toute molle, la faire revivre, la pomper, la lécher sous toutes les coutures, l'avaler jusqu'à la racine pour bien l'enduire de salive, te prendre entre mes gros nichons de salope jusqu'à ce que tu gicles tout au fond de ma gorge. Un délice ! Oh oui, ton infirmière, ta pute, ta chienne, ta chienne à dresser... T'embrasser goulûment pour partager ton foutre avec moi. Puis, en guise de prise de température pour me calmer, m'enculer à m'en faire crier avec ta bite que j'aurais vite fait de faire revivre... Qu'en penses-tu ? Cela ne ferait-il pas un beau récit ? Est-ce celui-là que tu voudras que je t’écrive ? Ou bien plus tard si tu préfères que je t’écrive d’abord une rencontre plus classique mais excitante (j’ai une petite idée).
Lâches toi si cela te fait plaisir.
Je dis plaisir je devrais dire si cela te donne envie de te faire empaler, prendre comme une salope, une chienne être là en levrette utilisé et utilisable par l’homme qui le souhaite.

Moi : L’infirmière pourquoi pas… Qu’elle s’occupe magnifiquement de son patient pour le ressourcer. Une bonne pipe n’a jamais fait de mal je pense. Partageons mon foutre cela ne me dérange nullement. Ma bite oui d’autres objets, j’ai des spéculums vaginaux et anaux, je pourrai vérifier si ma bite peut entrer en toi. Te dilater pour insérer bien plus qu’un sexe.

Suite.

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